Constance vous propose de consulter son écrit sur un sujet peu traité : les EMI (expériences de mort imminente).


Dans une société où la mort est encore tabou, il est parfois difficile de prendre en charge nos mourants de manière adaptée. La religion est de moins en moins présente, la notion de paradis également. Pour beaucoup, la mort n’offre donc comme perspective que le néant de l’au-delà.

Les infirmières et les professionnels de santé sont ainsi régulièrement les témoins de questionnements existentiels de patients angoissés, sentant la mort approcher. La mort, présente dans tous les services quel qu’ils soient, est tantôt affrontée, tantôt cachée, tantôt crainte, tantôt fuit.

Les infirmières sont-elles suffisamment armées pour affronter l’inévitable question de la mort ? Face à ces difficultés soignantes vis-à-vis de la mort, la connaissance des Expériences de Mort Imminente pourrait bien être utilisée comme outils thérapeutique pour aider les soignants ainsi que les étudiants à affronter les craintes que la mort inspire.

« Conscience », « inconscience », « mort » et « au-delà »… l’étude des EMI nous apporte du réconfort et de l’espoir, l’espoir d’une vie après la vie.

Mots clés : Expérience de Mort Imminente, Soins palliatifs, Angoisse de la mort, au-delà



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Bertrand vous met à disposition son travail soutenu avec brio ayant pour thème principal la communication avec le patient aphasique.


Les troubles du langage de type aphasie sont des conséquences fréquentes suite à un accident vasculaire cérébral. Savoir comment entrer en communication avec les personnes atteintes de cette pathologie est essentielle dans la prise en charge de l’infirmier. Ce travail de recherche a pour but d’exposer les difficultés qu’éprouve au quotidien la personne qui ne peut plus s’exprimer et se faire comprendre par autrui, et comment dans ce contexte, la démarche de communication doit s’adapter. Une exploration du cadre conceptuel et théorique, associée à une enquête exploratoire auprès des professionnels, ont permis d’approfondir la réflexion et de dégager une hypothèse de recherche.

Le langage est un mode de communication riche et complexe qui ne se limite pas à la seule parole. Il appartient à l’infirmier d’aider la personne aphasique à surmonter son handicap et de l’aider à développer ses ressources et ses capacités de communication. Pour parvenir à un échange répondant aux besoins de la personne aphasique, l’infirmier doit enrichir ses connaissances sur la pathologie et les différentes formes de communication, développer ses capacités relationnelles, s’organiser en équipe et avec tous les acteurs de la vie quotidienne. C’est en prenant le temps de l’écoute et de l’observation que l’infirmier va pouvoir adapter son langage et créer la relation de confiance indispensable au bien-être et à la qualité de vie de la personne aphasique.

Communiquer, c’est arriver à comprendre et à se faire comprendre, en s’évaluant à tout moment et en prenant le temps nécessaire, car il n’y a pas de soin sans communication.

Mots clés: Aphasie, Communication verbale, Communication non-verbale, Relation soignant-soigné, Qualité de vie



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Coralie vous propose de consulter son travail de recherche sur un thème de psychiatrie, et plus précisément sur le lien mère-enfant chez les patientes atteintes de schizophrénie.


Le thème : le lien mère-enfant chez les patientes schizophrènes, est un thème que j’ai pu voir lors de deux de mes stages. La première fois lors de mon stage en maternité et ensuite durant mon stage en psychiatrie. Au cours de mon stage en maternité cette situation ne m’avait pas particulièrement interpellée. Cependant lorsque j’ai revécu cette situation en psychiatrie je me suis rappelée de cette patiente en maternité. C’est à ce moment que j’ai pu me questionner sur ces deux situations. Cette situation m’a interpellée car je n’avais jamais réfléchi à cette possibilité et je n’avais jamais pensé aux faits que les patientes en psychiatrie puissent être enceintes. La deuxième chose qui m’a étonné était le lien que la patiente de psychiatrie avait avec son enfant. Je me suis donc demandé comment cela était possible au vue de l’hospitalisation de la patiente et du placement de son enfant. Ce thème m’est donc venu naturellement. J’ai donc voulu en savoir plus sur le rôle que l’infirmière avait dans la relation qu’une mère schizophrène peut avoir avec son enfant.

Mots clés: Lien Mère Enfant, psychiatrie, Schizophrénie, Santé Mentale



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Bryan vous a contacté courant 2017 pour l’aider à établir son TFE. Il a choisi comme thème de mémoire le psychotraumatisme, et s’est basé sur les attentats terroristes survenus en 2015-2016 en France. Un travail hors du commun intéressant à lire sans modération.


L’histoire et la littérature ont démontré que l’homme a toujours été victime de l’affliction qu’est le traumatisme psychique. Cette blessure de l’âme confronte la victime au réel de la mort. Dans un pays récemment touché par des attentats terroristes, nous infirmiers, sommes plus à même de prendre en charge un patient psychotraumatisé. La limite entre empathie et compassion est- elle particulièrement précaire dans la relation de soin avec le patient en état de psychotraumatisme ? Le cadre théorique de ce mémoire de fin d’études s’appuie sur les théories de Louis Crocq et François Lebigot au sujet du traumatisme psychique ainsi que sur les concepts de la relation d’aide selon Carl Rogers. Pour conduire cette étude, je suis allé m’entretenir avec des soignants de différentes professions à propos de la prise en charge du patient psychotraumatisé. Les résultats ont montré une corrélation entre les éléments théoriques et les réponses des professionnels. L’enquête a cependant suscité de nouvelles interrogations. Il serait pertinent d’aborder au cours d’une future recherche les outils que l’infirmier doit développer afin de se préserver du traumatisme vicariant.

Mots clés : Traumatisme psychique, empathie, compassion, infirmier, relation de soin, …



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Christelle vous propose de consulter son travail de recherche du positionnement des étudiants en stage. Voici un résumé.


En raison d’expériences marquant mon parcours de formation, ce travail de fin d’études propose d’aborder la problématique du positionnement professionnel des étudiants infirmiers au sein des équipes soignantes. J’ai pu me rendre compte qu’il était parfois complexe pour les étudiants en soins infirmiers de se positionner face à des situations durant leurs stages. Ce constat m’a alors amenée à me demander : dans quelle mesure l’étudiant en soins infirmiers a-t-il le droit de se positionner face à une équipe ?

Afin de répondre à cette question, j’ai choisi de séparer mon travail en deux phases distinctes. Une exploration du sujet et des définitions qui y sont associées a permis de faire émerger les thématiques précises abordées lors de la phase d’approfondissement. Ma réflexion s’est nourrie de l’analyse d’entretiens libres et semi-directifs menés auprès de plusieurs infirmiers, d’une cadre de santé et d’une étudiante. De nouvelles recherches théoriques ont guidé ma réflexion et alimenté ces entretiens.

Au cours de ma recherche, différentes thématiques ont pu être abordées quant au droit et à la légitimité de l’étudiant à prendre position au sein d’une équipe. Ont aussi été explorés les différents facteurs influençant le positionnement, tels que le bilan de stage, ainsi que les sujets sur lesquels il est le plus à même d’être entendu et accepté par l’équipe. Ma réflexion a aussi pu m’amener à étudier l’intérêt du nouveau programme et de la pratique réflexive qu’il encourage dans le développement du positionnement de l’étudiant.

Mots clés : positionnement professionnel, étudiant infirmier, stage, statut d’étudiant, pratique réflexive, bilan de stage, …



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Amandine vous propose de consulter son travail de recherche ayant pour thème principal les nuisances olfactives et sonores au sein de l’hôpital. Son travail de 64 pages permet une réflexion sur les bruits et les odeurs présents dans les services où nous exerçons.


Le bruit et les odeurs, sont des nuisances souvent rapportées par les patients en milieu hospitalier. Pour illustrer cette problématique et partant d’une situation de départ rencontrée, j’ai dans un premier temps fait des recherches sur des textes traitant ces thèmes ce qui m’a permis de construire mon cadre conceptuel.

Je suis partie du postulat que le bruit et les odeurs avaient un impact sur le processus de guérison des patients. Suite aux rencontres avec les professionnels, ces derniers m’ont apporté des réponses différentes de celles attendues concernant cette problématique. En effet, il en ressort que les professionnels n’avaient pas forcément conscience de l’impact que ces stimulations pouvaient avoir sur le processus de guérison des patients. Il semblerait que les odeurs soient moins ressenties comme facteur gênant le soin par les soignants et les patients, en adéquation avec le peu de données trouvées en amont de mes recherches. La prise en compte des nuisances sonores dans l’environnement des patients a évolué depuis quelques années, principalement lors des nouveaux aménagements des services. Ce qui tend à penser qu’il y a une prise en compte de ce phénomène dans la prise en soins des patients.

Mots clés : bruit, odeurs, processus de guérison, patients,…



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Océane vous propose de consulter sont travail de recherche sur le thème des émotions dans le cadre de la fin de vie.


Lors d’un de mes stages, j’ai du faire face à certaines situations de fin de vie dont une qui m’a particulièrement touché. Dans ce mémoire, j’ai voulu mettre en évidence le lien qui existait entre les émotions du soignant et la juste distance qu’il faut donc adopter avec le patient en fin de vie qu’il prend en charge.

Afin d’enrichir mes connaissances, j’ai effectué des recherches qui ont pu mettre en avant les différents concepts de mon cadre théorique. Après avoir effectué mes recherches, j’ai pu poser la problématique suivante : « Comment les émotions peuvent elles influencer la juste distance relationnelle de l’infirmier face à un patient en fin de vie ? ». J’ai ensuite émis les hypothèses suivantes : certaines émotions dite négatives peuvent induire la mise à distance du patient et d’autres dites positives peuvent favoriser une distance relationnelle plus proche avec le soignant. Ma deuxième hypothèse étant : c’est avec l’expérience que l’infirmier pourra contenir ses émotions et ainsi assurer une juste distance relationnelle avec le patient en fin de vie. Afin de valider ou non mes hypothèses, j’ai effectué des entretiens auprès d’infirmiers de pneumologie, de soins palliatifs et enfin de médecin interne oncologie. Au vue des résultats, ma première hypothèse est partiellement validée. En effet certaines infirmières pensent que les émotions négatives peuvent être parfois positives. Ma seconde hypothèse quant à elle est validée. L’expérience professionnelle permet à l’infirmier une gestion des émotions et ainsi une maîtrise de la distance relationnelle.

Mots clés : juste distance, émotion, patient en fin de vie, rôle infirmier, accompagnement, législation.



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Catherine vous propose de lire son travail de recherche sur le thème de la posture relationnelle en fonction de la vulnérabilité du soignant.


La véritable victoire, c’est encore de se poser la question. La posture relationnelle se veut souvent incertaine au regard d’un métier de l’humain fait d’incertitudes et d’émotions. C’est dans la continuité de ceci que le questionnement autour de la vulnérabilité du soignant et de la posture sous-tendue prend sens. Il n’existe pas de réponses types au regard d’un soignant et d’un patient, à la fois si différents et si proches.

De ce fait, nous nous sommes demandés en quoi la conscience de sa propre vulnérabilité par le soignant influe t’elle sur la posture professionnelle dans la relation de soin. Les recherches et les échanges entrepris lors de l’élaboration de ce travail de fin d’étude ont en ce sens apporté des axes de réflexion dans le but ultime non pas de trouver une réponse figée mais de toujours chercher à comprendre afin que la relation de soin reste avant tout une relation authentique.

Au regard de la réflexion portée par ce mémoire, l’approche relationnelle se veut différente, toujours dans un espoir de maitrise émotionnelle, beaucoup moins dans une idée de contrôle relationnel.

Mots clés : vulnérabilité, conscience, posture, relation de soin, maitrise émotionnelle.



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Sarah vous propose de consulter son travail de recherche sur un sujet qui lui tient à coeur et qui se retrouve de plus en plus au centre du métier d’infirmier : la considération de l’humain dans les soins. Les concepts de déshumanisation des soins, projets de soins personnalisés, prise en soin… sont abordés dans ce TFE.


Au regard de l’évolution du système hospitalier et du contexte de soins actuel, l’infirmier doit faire face à de nombreux changements.

En partant d’une situation vécue en stage, ce travail de fin d’études aborde une notion essentielle à la profession infirmière : la place qu’occupe l’humain au sein des soins. La question de départ : « En quoi un projet de soin personnalisé peut-il aider l’infirmier à recentrer sa prise en charge sur l’humain, auprès d’une personne atteinte d’une pathologie chronique au sein d’un service de médecine ? » m’a permis d’étudier trois concepts que sont l’humain, le projet de soins personnalisé et la prise en charge.

Par la suite, j’ai pu confronter ces concepts à la réalité du terrain par le biais de deux entretiens exploratoires. Il ressort de ces derniers que les conditions de travail de l’infirmier ont un impact à la fois sur ses émotions et sur sa prise en soin.

En prenant en compte cela, ma recherche peut se poursuivre en s’interrogeant ainsi : « En quoi la qualité de vie au travail de l’infirmier impacte-t-elle la qualité des soins délivrée par ce dernier ? »

Mots clés : Humain, projet de soins, soins individualisés et personnalisés, infirmiers.



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Stéphanie vous propose de consulter son travail de recherche sur l’intimité lors des soins.


Ce mémoire traite de l’intimité dans les soins. Lors de mon stage du semestre cinq dans un service de médecine, j’ai pu voir des infirmières réaliser des soins comme : mettre et retirer une perfusion, faire une injection, prendre une tension ou vérifier une glycémie capillaire la porte de la chambre ouverte. Ceci m’a choquée car nous devons fermer la porte lors de la réalisation d’un soin auprès d’un patient. J’ai choisi de traiter ce sujet à cause du manque du respect de l’intimité, la dignité et la confidentialité des soins. L’analyse de ma situation initiale m’a permis de poser la question de départ suivante : « Quels facteurs influencent le non-respect de l’intimité, de la dignité et de la confidentialité des soins ? ».

Pour répondre à la question j’ai mené une revue de littérature en lisant de nombreux articles. Après l’analyse, j’ai réalisé trois entretiens dans différents services hospitaliers. Un dans un service de chirurgie, un dans une unité de soin de longue durée et le troisième dans un EHPAD. Les données collectées m’ont mené à la question de recherche suivante : « En quoi, le respect de l’intimité influence-t-il la relation de confiance entre l’infirmière et le patient ? ».


J’ai effectué quelques lectures pour y répondre, mais pour répondre vraiment à la question je déciderais de réaliser d’autres entretiens. Je choisirais six ou huit infirmières anciennes ou nouvelles diplômée, dans des services de court séjour. Ces entretiens seraient menés à l’aide d’un guide d’entretien afin d’obtenir des réponses plus précises.

Ce travail de recherche est important pour comprendre comment nous devons travailler. J’ai pu voir que j’avais une bonne pratique pour instaurer une relation de confiance avec les patients. Cependant, je suis consciente qu’il serait difficile de réaliser tous les soins que nous avons à faire en respectant tout le temps les bonnes pratiques.

Je suis sure que je tenterais de faire mon travail avec le plus de relation de confiance possible car cela est nécessaire à la guérison du patient. J’essaierai donc de fermer les portes pour le reste de ma carrière.

Mots clés : intimité, dignité, confidentialité des soins, relation de confiance entre l’infirmière et le patient.



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