Claire vous propose de consulter son mémoire ayant pour sujet l’accompagnement de la famille d’un patient en situation de fin de vie. Son travail, de 40 pages, permet une réflexion sur le positionnement soignant par rapport à la famille.


Au cours d’un stage réalisé dans un service d’hématooncologie, j’ai été interpellée par la difficulté de prise en charge de la famille d’un patient en fin de vie. J’ai donc élaboré une question générale afin de comprendre les raisons de ce malaise soignant. La contextualisation de celle-ci ainsi que ma pré-enquête m’ont permis de me poser la question de recherche suivante : En quoi le fait d’établir une relation de confiance dans la triangulation (patient en fin de vie, famille, IDE non-spécialisée) permet une prise en charge plus efficace du patient en fin de vie ?

J’ai ensuite développé les concepts induits par cette question, ce qui m’a permis d’élaborer une problématique. Enfin, j’ai pu émettre une hypothèse générale et construire un cadre opératoire afin de tester la validité de mon hypothèse par un questionnaire auprès de professionnels.

Mots clés : Fin de vie, accompagnement des familles, relation de confiance



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Valentin vous propose de consulter son mémoire sur les émotions dans la relation de soin avec une personne en fin de vie. Il a soutenu son travail en Janvier 2017.


Les situations de fin de vie ne sont jamais faciles à vivre pour le soignant, l’auteur de ce travail d’étude ne peut expliquer tout les aspects de cette prise en soin particulière, mais va tenter par différents concepts de mieux comprendre ce que cette relation peut induire pour le soignant comme pour le soigné.

Une relation ne peut se faire sans émotion, et certains mécanismes de défense peuvent se mettre en place pour se protéger de l’autre, il est nécessaire de les prendre en compte pour comprendre les enjeux de la relation soignant-soigné.

L’auteur a travaillé sur ce sujet et a émis une hypothèse qu’il tente de vérifier auprès d’infirmières diplômées en les interrogeant sur certains aspects de ce cet accompagnement, dont les mécanismes de défenses. À travers leurs réponses, l’auteur pourra confirmer ou contredire l’hypothèse qu’il avait émis auparavant.

Mots clés : Relation, accompagnement, fin de vie, mécanismes de défense, émotions, …



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Clémence vous propose de consulter son mémoire ayant pour thème l’explication du soin au soignant par le soigné, et plus généralement l’apprentissage du soignant par ce patient atteint d’une maladie chronique.


Pour le travail d’initiation à la recherche réalisée lors de ma troisième année d’étude, je parle d’une situation qui s’est déroulée au cours d’un stage dans un service de néphrologie en deuxième année. Il s’agit d’un acte de soin réalisé par une patiente qui a comme traitement une dialyse péritonéale. Cette situation m’a questionnée car c’est la patiente qui m’a expliquée le soin. Suite à la phase exploratoire la question de départ qui est ressortie est : en quoi un soignant peut-il apprendre d’un patient atteint d’une maladie chronique qui a reçu une éducation thérapeutique dans les règles de bonnes pratiques ?

J’ai étudiée quatre concepts principalement qui sont : l’apprentissage, l’éducation thérapeutique, la maladie chronique et la bonne pratique professionnelle. Pour décrire ces concepts, j’ai utilisé des articles, des livres et des sites internet. A partir de ces concepts, plusieurs hypothèses de recherche ressortent, tel que : Les infirmières apprennent et construisent leurs savoirs sur la maladie chronique en coordination avec les patients experts. La pratique professionnelle est impactée par les patients experts. L’Education Thérapeutique du Patient est un travail en collaboration entre patient atteint de maladie chronique et les professionnels de santé. Si j’avais dû aller enquêter sur ce thème, j’aurais utilisé une méthode clinique avec des questionnaires pour les soignants et les patients.

Mots clés : Education Thérapeutique, Relation soignant soigné



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Amélie vous propose de consulter son travail ayant pour sujet le toucher-massage chez le patient souffrant de douleurs liées au cancer.


Ma situation de départ se déroule en oncologie thoracique avec une personne âgée ayant des douleurs abdominales et une insomnie. Je propose à cette personne un toucher- massage au niveau des mains que j’ai appris lors d’une formation d’initiation à l’IFSI. Elle me dit qu’elle «a oublié sa douleur» et arrive à s’endormir. La technique non médicamenteuse arrive donc à la soulager.

Cette situation m’a questionné sur l’utilisation du toucher-massage pour soulager une douleur cancéreuse. En effet, dans ma pratique j’utilise le toucher régulièrement de manière naturelle mais à quel moment et comment peut-on l’utiliser pour soulager de la douleur si présente en cancérologie ? J’ai voulu exploiter ce thème avec comme question de départ « Comment en tant qu’infirmiers pouvons-nous accompagner et soulager une personne soignée ayant une douleur cancéreuse grâce au toucher-massage ? ».

J’ai d’abord effectué des recherches sur la douleur qui a plusieurs composantes et qui est donc subjective d’où l’importance d’une prise en charge personnalisée de la part des soignants. Puis sur la douleur cancéreuse, en partant du cancer et de ses conséquences pour la personne soignée vers la « douleur totale » qui est physique, morale, sociale et culturelle. J’ai ensuite évoqué la prise en charge de cette douleur par les infirmiers : évaluation, traitement médicamenteux et non médicamenteux, réévaluation, traçabilité et transmission.

Puis, je me suis centrée sur l’utilisation du toucher-massage pour la douleur cancéreuse : comment le pratiquer en tant qu’infirmiers ? Quels sont les bénéfices pour le soigné ? Y’a-t-il aussi des bénéfices pour le soignant ? Et y’a-t-il des limites ou contraintes ? Afin d’avoir une réalité professionnelle, j’ai interrogé des infirmiers dans des services différents accueillant des personnes ayant des douleurs cancéreuses, pratiquant ou non le toucher-massage. Il en ressort que ce soin a un impact positif dans la prise en charge de la douleur, qu’il diminue les douleurs physiques par blocage du message douloureux et libération d’endorphines entraînée par le toucher. Il soulage aussi les douleurs morales comme le stress car le toucher-massage traite aussi les émotions associées.

Un article de recherche « Évaluation de l’impact du toucher dans les soins infirmiers » confirme cette idée. Lors des entretiens, les infirmières ont exprimé qu’il était complémentaire à la médication et qu’il y avait aussi des bénéfices pour le soignant notamment le fait d’être utile. Cela s’explique par la propriété de réciprocité du toucher entre la personne qui pratique et celle qui reçoit. L’ensemble des données théoriques et empiriques m’ont amené à la problématique : « En quoi, le toucher-massage est-il un soin entraînant une réciprocité entre la personne soignée et l’infirmier prodiguant ce soin ? ».

Mots clés :Douleur, Cancer, Toucher-massage, Soulager, Accompagnement, Réciprocité



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Nolwenn vous propose de consulter son mémoire, ayant pour thème principal l’administration d’un placebo, et essentiellement la représentation des soignants sur ce traitement.


Le placebo et les soignants est le thème de ce travail. Le mot « placebo » défini un médicament dépourvu de tout principe actif. Un médicament qui semble être jugé comme « embarrassant » par les soignants. Il crée un malaise dans le milieu médical, de part son jugement et de ses représentations, lorsque les soignants doivent prendre en charge un patient sous placebo. Pourtant aujourd’hui, la médecine a évolué et elle a prouvé l’efficacité du placebo et de l’effet placebo à l’aide de l’imagerie cérébrale. Cependant pour les soignants, leurs représentations n’ont pas évolué. Un débat éthique autour du placebo est continu et nécessaire. Un soignant est un professionnel qui acquiert une base théorique et un savoir-être en formation. Il est amené à développer ce savoir-être pendant sa carrière mais aussi à remettre à jour son savoir. En quoi la connaissance du placebo influence-t-il les attitudes des soignants dans la prise en charge d’un patient ?

Mots clés : Placebo, Effet placebo, Relation soignant-soigné, Savoir-être, Savoir, Savoir-faire



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Marie vous propose de consulter son mémoire ayant comme thème de travail les aidants naturels au domicile du patient.


Les aidants naturels des acteurs primordiaux à la prise en soins à domicile. Sans eux, le patient ne peut pas décéder cher lui et doit se faire hospitaliser. Il représente un rôle fondamental dans la prise en soins à domicile. Ils aident leurs proches dans la réalisation d’actes quotidiens, les accompagne, les soutiennent mais aussi alerte les professionnels en cas de problèmes. Ils endossent des responsabilités importantes. Cependant, ils ont tout de même besoin d’aides extérieur. En quoi la relation d’aide entre l’aidant et l’infirmier peut influencer l’accompagnement du patient en soins palliatifs à domicile ? 

L’infirmier est souvent présent dans des accompagnements comme celui-ci. Mais si la relation de confiance entre l’aidant et l’infirmier n’est pas présente ceci peut être un frein aux soins à domicile. Si l’infirmier ne soutient pas l’aidant dans cette prise en soins douloureuse celui-ci peut rencontrer des difficultés. Ce qui mettrait en périple la qualité des soins prodigués au patient. Suite à des entretiens avec des infirmiers libéraux nous avons pu constater l’importance de la relation d’aide entre l’infirmier et l’aidant naturel dans la prise en soins de qualité du patient. Les professionnels doivent faire preuve d’écoute, d’empathie, d’aide, de soutien auprès de ces aidants en souffrance.

Mots clés :  Aidant Naturel, Patient, Infirmier, Accompagnement, Soutien



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Constance vous propose de consulter son écrit sur un sujet peu traité : les EMI (expériences de mort imminente).


Dans une société où la mort est encore tabou, il est parfois difficile de prendre en charge nos mourants de manière adaptée. La religion est de moins en moins présente, la notion de paradis également. Pour beaucoup, la mort n’offre donc comme perspective que le néant de l’au-delà.

Les infirmières et les professionnels de santé sont ainsi régulièrement les témoins de questionnements existentiels de patients angoissés, sentant la mort approcher. La mort, présente dans tous les services quel qu’ils soient, est tantôt affrontée, tantôt cachée, tantôt crainte, tantôt fuit.

Les infirmières sont-elles suffisamment armées pour affronter l’inévitable question de la mort ? Face à ces difficultés soignantes vis-à-vis de la mort, la connaissance des Expériences de Mort Imminente pourrait bien être utilisée comme outils thérapeutique pour aider les soignants ainsi que les étudiants à affronter les craintes que la mort inspire.

« Conscience », « inconscience », « mort » et « au-delà »… l’étude des EMI nous apporte du réconfort et de l’espoir, l’espoir d’une vie après la vie.

Mots clés : Expérience de Mort Imminente, Soins palliatifs, Angoisse de la mort, au-delà



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Bertrand vous met à disposition son travail soutenu avec brio ayant pour thème principal la communication avec le patient aphasique.


Les troubles du langage de type aphasie sont des conséquences fréquentes suite à un accident vasculaire cérébral. Savoir comment entrer en communication avec les personnes atteintes de cette pathologie est essentielle dans la prise en charge de l’infirmier. Ce travail de recherche a pour but d’exposer les difficultés qu’éprouve au quotidien la personne qui ne peut plus s’exprimer et se faire comprendre par autrui, et comment dans ce contexte, la démarche de communication doit s’adapter. Une exploration du cadre conceptuel et théorique, associée à une enquête exploratoire auprès des professionnels, ont permis d’approfondir la réflexion et de dégager une hypothèse de recherche.

Le langage est un mode de communication riche et complexe qui ne se limite pas à la seule parole. Il appartient à l’infirmier d’aider la personne aphasique à surmonter son handicap et de l’aider à développer ses ressources et ses capacités de communication. Pour parvenir à un échange répondant aux besoins de la personne aphasique, l’infirmier doit enrichir ses connaissances sur la pathologie et les différentes formes de communication, développer ses capacités relationnelles, s’organiser en équipe et avec tous les acteurs de la vie quotidienne. C’est en prenant le temps de l’écoute et de l’observation que l’infirmier va pouvoir adapter son langage et créer la relation de confiance indispensable au bien-être et à la qualité de vie de la personne aphasique.

Communiquer, c’est arriver à comprendre et à se faire comprendre, en s’évaluant à tout moment et en prenant le temps nécessaire, car il n’y a pas de soin sans communication.

Mots clés: Aphasie, Communication verbale, Communication non-verbale, Relation soignant-soigné, Qualité de vie



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Coralie vous propose de consulter son travail de recherche sur un thème de psychiatrie, et plus précisément sur le lien mère-enfant chez les patientes atteintes de schizophrénie.


Le thème : le lien mère-enfant chez les patientes schizophrènes, est un thème que j’ai pu voir lors de deux de mes stages. La première fois lors de mon stage en maternité et ensuite durant mon stage en psychiatrie. Au cours de mon stage en maternité cette situation ne m’avait pas particulièrement interpellée. Cependant lorsque j’ai revécu cette situation en psychiatrie je me suis rappelée de cette patiente en maternité. C’est à ce moment que j’ai pu me questionner sur ces deux situations. Cette situation m’a interpellée car je n’avais jamais réfléchi à cette possibilité et je n’avais jamais pensé aux faits que les patientes en psychiatrie puissent être enceintes. La deuxième chose qui m’a étonné était le lien que la patiente de psychiatrie avait avec son enfant. Je me suis donc demandé comment cela était possible au vue de l’hospitalisation de la patiente et du placement de son enfant. Ce thème m’est donc venu naturellement. J’ai donc voulu en savoir plus sur le rôle que l’infirmière avait dans la relation qu’une mère schizophrène peut avoir avec son enfant.

Mots clés: Lien Mère Enfant, psychiatrie, Schizophrénie, Santé Mentale



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Floriane vous propose de consulter son mémoire sur un thème très paradoxal : vivre la mort, quand expériences et représentations influencent nos prises en charge.


Maurice ABIVEN, médecin humaniste français et créateur de la première unité de soins palliatifs en France, explique que « Le contact permanent avec des crises qui se succèdent et se côtoient dans un même lieu n’est pas sans incidence pour le soignant.». Il questionne également le lecteur : « Peut-on travailler sans souffrir dans un lieu où l’on ne cesse de mourir ? sans vivre ses propres crises ? sans finalement se transformer ? […] Comment chacun concilie-t-il son idéal avec ses limites et celles de l’institution ? Quel rôle jouent les motivations, les idéologies dans la façon de gérer cette souffrance ?». Le « contact » répété ou non à la mort constitue une expérience et l’idéal n’est autre qu’une représentation. Le terme « se transformer » exprime clairement un changement, une influence chez le soignant qui se répercutera tôt ou tard dans sa prise en charge du patient.

Mots clés : soins palliatifs, morts, décès, accompagnement, infirmier, oncologie, …



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