Obstruction partielle ou totale, prise en charge médicale ou chirurgicale.



1- Définition

Il s’agit du blocage partiel ou total du transit intestinal des matières fécales et des gaz. C’est une urgence avec engagement du pronostic vital puisqu’il existe un risque de nécrose, mais également de déshydratation (donc hypovolémie avec risque de choc). Il faut distinguer l’occlusion haute (duodénum et intestin grêle) et l’occlusion basse (côlon et rectum).


2- Causes

Les causes peuvent-être mécaniques (obturation de la lumière intestinale) : par strangulation (bride, volvulus, invagination, hernie intestinale). C’est généralement une urgence chirurgicale. Cela peut-être par obstruction (fécalome, tumeur, bézoard, adhérences), mais aussi en conséquence de la maladie de Crohn sur un épaississement de la paroi du côlon. L’accumulation de calculs des voies biliaires peut aussi être une cause mécanique de l’occlusion.

Les causes fonctionnelles (absence de péristaltisme) peuvent-être dues à des infections (appendicite, péritonite), une inflammation (pancréatite), une chirurgie récente abdominale ou pelvienne, suite à la prise de médicaments (antidépresseur, antalgique), mais également suite à des troubles nerveux et musculaires (parkinson, SEP)…


3- Personnes à risque

  • Personne ayant des antécédents de chirurgie abdominale ou pelvienne
  • Personne atteintes de Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin (MICI)
  • Personne souffrant de constipation chronique sévère

4- Symptômes

  • Crampes abdominales évoluant en cycles
  • Nausées
  • Vomissements alimentaires, bilieux, fécaloïdes
  • Fausses diarrhées
  • Déshydratation liée aux vomissements
  • Constipation
  • Distension de l’abdomen / météorisme abdominal
  • Arrêt total des gaz et des selles (l’arrêt des gaz est suffisant pour poser le diagnostic)

5- Diagnostic

  • Examen clinique avec une percussion abdominale pour percevoir la matité ou tympanisme de l’abdomen, la palpation abdominale à la recherche de sensibilité, défense, contracture. L’auscultation abdominale et le toucher rectal.
  • L’ASP (abdomen sans préparation) qui permet une aide au diagnostic de l’occlusion en précisant le type et le siège
  • Tomodensitométrie (TDM) est l’examen de référence
  • TOGD (transit oeso-gastro-duodénal)
  • Lavement baryté
  • Coloscopie

6- Traitements

  • Chirurgie pour lever l’obstacle. Il peut arriver qu’une stomie soit réalisée.
  • Sonde naso-gastrique
  • Antalgiques
  • Lavement évacuateur

7- Prévention

  • Traitement préventif de la constipation (alimentation équilibrée, laxatifs si besoin..)
  • Hydratation correcte
  • Activité physique régulière


SOURCES

  • Cours IFSI Moulins (03) et Montluçon (03)

Le cancer du sein est la tumeur maligne la plus fréquente chez la femme.



1- Les seins

Les seins ont pour fonction de produire le lait qui servira à nourrir les nouveaux nés. Ils sont composés de graisse, d’une glande mammaire, de canaux galactophores et du mamelon.

Les seins sont soumis à l’action de deux hormones :

  • Les œstrogènes (croissance des seins, grossesse)
  • La progestérone (différentiation des cellules, cycle menstruel)

2- Le cancer du sein

Cancer hormonodépendant le plus fréquent chez la femme. Il peut parfois se développer chez l’homme mais de façon très rare. Il existe deux types de cancer du sein :

  • Le cancer non invasif = in situ : qui se forme à l’intérieur des canaux de lactation
  • Le cancer invasif = infiltrant : qui envahit les tissus entourant les canaux de lactation

Les différents stades sont :

  • Stade 0 : cancer in situ
  • Stade I : cellules cancéreuses présentes dans les tissus entourant les canaux et lobules, taille inférieure à 2 cm
  • Stade II : soit la tumeur est supérieure à 2 cm, soit la tumeur mesure entre 0 et 5 cm et il y a une atteinte ganglionnaire
  • Stade III : tumeur de taille plus importante avec atteinte de plusieurs ganglions
  • Stade IV : cancer dit métastatique

3- Facteurs de risque

3-1 Chez l’homme
  • Âge (> 60 ans)
  • Antécédents familiaux de cancer du sein
  • Prédisposition génétique
  • Syndrome de Klinefelter
  • Exposition à des rayonnements
  • Cirrhose du foie
  • Gynécomastie
  • Obésité
  • Consommation d’alcool
  • Problème au niveau des testicules (cryptorchidie, orchidectomie, antécédent d’oreillons à l’âge adulte)
  • Exposition professionnelle à des produits toxiques (vapeurs d’essence, gaz d’échappement…)
3-2 Chez la femme
  • Âge (> 50 ans)
  • Antécédents personnels (cancer du sein, des ovaires, de l’endomètre)
  • Antécédents familiaux
  • Obésité
  • Consommation de tabac et d’alcool
  • Sédentarité
  • Hormonothérapie substitutive à la ménopause
  • Prise prolongée de contraceptifs oraux
  • Exposition à des produits cancérigènes
  • Multiparité ou grossesse tardive
  • Exposition accrue aux œstrogènes naturels (menstruations précoces, ménopause tardive)

4- Symptômes

  • Présence d’une masse au niveau du sein
  • Présence d’une masse au niveau des ganglions de l’aisselle
  • Modification de la peau, du mamelon, de l’auréole
  • Changement de taille ou de forme du sein
  • Perte d’appétit
  • Perte de poids
  • Écoulement au niveau du mamelon
  • Rétraction du mamelon

5- Dépistage / Diagnostic

  • Mammographie
  • Echographie
  • Biopsie avec examen anatomopathologique
  • Bilan d’extension si tumeur cancéreuse avérée

6- Traitements

  • Chirurgie : tumorectomie, mastectomie, curage ganglionnaire
  • Radiothérapie
  • Chimiothérapie
  • Hormonothérapie : anti-œstrogènes = tamoxifène (Nolvadox-D®), inhibiteurs de l’aromatase = anastrozole (Arimidex®), letrozole (Femara®), exemestane (Aromasin®)
  • Thérapies ciblées : trastuzumab (Herceptin®), bévacizumab (Avastin®), lapatinib (Tyverb®), évérolimus (Afinitor®)
  • Reconstruction mammaire immédiate ou différée

7- Prévention

  • Eviter la sédentarité
  • Alimentation saine et équilibrée
  • Arrêt du tabac
  • Limiter la consommation d’alcool
  • Eviter le surpoids
  • Auto palpation régulière
  • Mammographie
  • Adaptation des moyens contraceptifs



SOURCES



Les cancers colorectaux concernent en moyenne 42 000 personnes par an, et un peu plus de 17 000 en décèdent. Ils sont les cancers digestifs les plus fréquents, et sont au deuxième rang des cancers les plus fréquents.



1- Rappels anatomiques

Le gros intestin (côlon + rectum) correspond à la dernière partie du tube digestif. Il débute après l’intestin grêle et est composé de plusieurs segments :

  • Le caecum, au niveau de la fosse iliaque droite.
  • Le côlon droit ascendant, situé au niveau du flan droit.
  • Le côlon transverse, qui traverse de part en part l’abdomen, en partant de l’hypochondre droit jusqu’a l’hypochondre gauche, au niveau de la rate.
  • Le côlon descendant , qui débute au niveau de l’hypochondre gauche et qui se termine en fosse iliaque gauche.
  • Le sigmoïde, qui est une portion mobile entre le côlon descendant et le rectum.
  • Le rectum, qui est la partie terminale, entre le sigmoïde et l’anus.

Le côlon intervient dans la digestion. Il a un rôle essentiel dans l’absorption de certains électrolytes, et dans l’absorption d’eau.


2- Les cancers colorectaux

Les cancers colorectaux se situent au second rang dans les cancers les plus courants. Ils se positionnent après le cancer pulmonaire chez l’homme, et celui du sein chez la femme.

Environ 40% des cancers touchent le rectum, et 60% le côlon. Ils correspondent à une tumeur maligne de la muqueuse, qui fait suite dans 70% des cas environ à une tumeur bénigne (appelée polypes). Le délai entre l’apparition d’un polype et sa transformation en cancer est de 7 à 10 ans. Le cancer colorectal le plus fréquent est un adénocarcinome (tumeur maligne développée aux dépens d’un épithélium glandulaire).

Le cancer colorectal se développe de manière locale initialement. il est possible que des cellules cancéreuses migrent par la circulation lymphatique ou sanguine pour constituer des métastases.

5 stades pour le cancer colorectal existent :

  • Stade 0 = cellules cancéreuses au niveau de la muqueuse (épithélium)
  • Stade 1 = Cellules cancéreuses dans le tissus conjonctif qui entoure la muqueuse (musculeuse).
  • Stade 2 = cellules cancéreuses au-delà de la musculeuse.
  • Stade 3 = cellules cancéreuses dans les ganglions lymphatiques.
  • Stade 4 = cellules cancéreuses dans les autres organes (métastases).

Sites et fréquences des métastases

Foie35%
Poumons19%
Rétropéritoine13%
Os4%

3- Facteurs de risque

  • Âge : le risque augmente après 50 ans.
  • Présence de polypes.
  • Habitudes de vie (alimentation riche en viande rouge, charcuterie, pauvre en fibres, consommation d’alcool, tabagisme…).
  • Antécédents familiaux.
  • Antécédents de maladie inflammatoire chronique de l’intestin (recto-colite hémorragique, maladie de Crohn…).
  • Syndrome de Lynch (maladie génétique à transmission autosomique dominante responsable de l’augmentation du risque de cancers colorectaux, sujet <40ans, associé à d’autres cancers, touche essentiellement le côlon droit).
  • Diabète.
  • Surpoids ou obésité

4- Symptômes

  • Modifications du transit inhabituelles et soudaines : constipation, alternance de constipation/diarrhée…
  • Rectorragie, melaena ou sang présent dans les selles de manière plus discrète.
  • Anémie (liée à la perte de sang).
  • Douleurs abdominales.
  • Altération de l’état général, asthénie
  • Perte de poids, perte d’appétit
  • Effet de masse abdominale
  • Occlusion si la tumeur est sténosante, perforation digestive, hémorragie

5- Dépistage et diagnostic

  • Le dépistage repose sur la recherche de sang dans les selles (Test Hémocult). Test proposé tous les 2 ans à partir de 50 ans.
  • Le diagnostic est établi avec la coloscopie et par la réalisation d’une biopsie.
  • Le bilan d’extension repose sur un examen clinique approfondi. Une tomodensitométrie thoracique et abdominopelvienne est prescrite à la recherche de métastases.

6- Traitement

  • Le traitement se fait en équipe pluridisciplinaire (médecins, paramédicaux, psychologue, assistant socio-éducatif..), et doit s’adapter au mode de vie du patient. Le traitement est soit curatif, soit palliatif.
  • Chirurgical : c’est le seul traitement curatif. Il consiste à pratiquer une exérèse de la tumeur : ablation de polype, curage ganglionnaire, hémicolectomie droite (si atteinte du côlon droit, hémicolectomie gauche (si atteinte du côlon gauche), amputation du rectum et/ou de l’anus… Il consiste également à la réalisation d’une colostomie. La chirurgie sera aussi un traitement possible pour les métastases hépatiques par exemple.
  • Chimiothérapie : elle est proposée en adjuvant ou en palliatif.
  • Radiothérapie : elle est proposée en préopératoire dans les cancers du rectum pour diminuer le risque de récidive locale. Elle a également un effet antalgique lorsque celle-ci est utilisée en palliatif.

Le choix du traitement dépend du stade d’évolution. Parfois, un seul suffit ; mais la plupart du temps, la prise en charge du cancer colorectal nécessite l’association de plusieurs traitements.

Le suivi du cancer colorectal se fait pendant minimum 5 ans. Il permet de déceler les récidives locales ou à distance, d’évaluer et prendre en charge les séquelles, de rechercher et prendre en charge les complications tardives liées aux traitements, d’organiser les soins de support nécessaires et de faciliter la réinsertion professionnelle. Il consiste en un examen clinique (avec imagerie et dosage de l’antigène carcinome-embryonnaire (ACE)) tous les 3 mois, et une coloscopie tous les 3 ans.


7- Prévention

  • Réalisation du test de dépistage tous les 2 ans chez les sujets de plus de 50 ans.
  • Arrêt du tabac.
  • Éviter la sédentarité.
  • Limiter la consommation d’alcool.
  • Manger des fruits, des légumes et des céréales.
  • Limiter la consommation de viande rouge, charcuterie, grillades…


SOURCES


Très souvent rencontrée chez le sujet âgé lors d’une chute, elle peut également se présenter chez tous les types de patient. La tranche d’âge la plus concernée est 65-85 ans.



1- Rappels anatomiques

Le fémur est l’os de la cuisse qui forme avec le bassin l’articulation de la hanche. Cette articulation permet la marche.

Le haut du fémur a une tête arrondie appelée le cotyle qui s’emboîte dans le creux de l’os de la hanche. Le col fémoral est la partie la plus fine de cette articulation.


2- Causes et facteurs favorisant

  • Chute
  • Traumatisme
  • Ostéoporose
  • Sexe féminin
  • Métastases osseuses
  • Age > 60 ans

3- Signes cliniques

  • Douleur vive du membre inférieur et du bassin
  • Impotence fonctionnelle (totale ou non)
  • Raccourcissement du membre
  • Rotation externe du pied
  • Déformation au niveau de la hanche possible.

4- Diagnostic

Le diagnostic repose sur l’examen clinique et la réalisation d’une radiographie de la hanche et du bassin de face et de profil.


5- Traitement

  • Antalgiques intraveineux.
  • Mise en place d’une traction : dispositif médical qui permet par le biais d’un poids qui tire sur le membre, de réduire et maintenir les fractures de manière temporaire et ainsi de participer à l’analgésie
  • Arthroplastie de hanche : mise en place d’une prothèse partielle ou totale de hanche (méthode privilégiée chez la personne âgée)
  • Ostéosynthèse de la hanche : mise en place d’un clou et de vis (méthode privilégiée chez les personnes actives)
  • Rééducation par kinésithérapie

6- Complications

Elles sont liées à l’intervention chirurgicale et à l’immobilisation prolongée.

  • Risque hémorragique lié à cette chirurgie dite sanglante.
  • Risque d’escarre lié à l’alitement, à la chirurgie, à l’état nutritionnel, à l’âge et aux antécédents. 
  • Risque thromboembolique lié à l’alitement, au type de chirurgie (site proche des veines pelviennes –> chirurgie emboligène), à l’âge, aux antécédents, … Afin de prévenir la survenue de thromboses, un traitement anticoagulant est mis en place. 
  • Risque de complications liées à l’anesthésie
  • Risque de douleurs liées à l’opération.
  • Risque d’hématome au niveau de la cuisse dû au saignement (que les drains mis en place ne peuvent évacuer). 
  • Risque de luxation de la prothèse 
  • Risque infectieux immédiat ou à distance de l’intervention par contamination hématogène (infection dentaire, urinaire,…). Ce risque est également lié à l’intervention chirurgicale en elle-même, et à la présence de matériel. Une antibiothérapie prophylactique est quasi-systématiquement mise en place.
  • Risque de pseudarthrose liée à l’ostéosynthèse et qui nécessitera une arthroplastie par prothèse totale de hanche
  • Risque de perte d’autonomie

7- Risque de luxation

C’est un des risque majeurs post-opératoires à court, moyen et long terme.

La luxation de prothèse totale de hanche correspond à la sortie de la tête fémorale artificielle du cotyle de la prothèse. Elle se manifeste par une douleur très importante au niveau de la hanche, de survenue brutale, avec un raccourcissement du membre, et une impotence fonctionnelle.

Pour comprendre les causes de luxation, il faut différencier les deux abords opératoires :

  • Par voie ANTÉRIEURE :
    • voie qui offre le risque le plus faible de luxation car il n’y a aucune lésion musculaire ; mais, pour accéder à la tête fémorale, le chirurgien n’a pas d’autre solution que de rompre des ligaments.
    • Mouvements luxant :
      • ABDUCTION : jambe opérée qui s’éloigne de l’axe du corps
      • ROTATION EXTERNE : la pointe du pied vers l’extérieur du corps
      • HYPER-EXTENSION : Lorsque la cuisse forme avec le tronc un angle > 180°.
      • Il est donc interdit d’emmener la cuisse vers l’extérieur et en arrière.
  • Par voie POSTÉRIEURE :
    • Voie qui oblige le chirurgie à pratiquer une section des muscles et des ligaments, ce qui va créer un maintien fragile de la tête fémorale dans le cotyle de la prothèse. La luxation aura donc lieu vers l’arrière.
    • Mouvements luxant :
      • ADDUCTION : jambe opérée qui va passer par dessus l’autre jambe.
      • ROTATION INTERNE : Pointe du pied qui rentre vers l’intérieur
      • HYPER-FLEXION : cuisse qui forme avec le tronc un angle <90°.

8- Rôle infirmier

  • Prévention des chutes chez les personnes âgées : chaussures adaptées, luminosité suffisante en cas de déplacement nocturne, éviter les tapis…
  • Détecter une éventuelle fracture en cas de chute
  • Evaluer la douleur
  • Mettre en place des traitements, surveiller des effets attendus et des éventuels effets secondaires
  • Mise en place de la traction
  • Prévention de la survenue d’escarre
  • Préparation pré-opératoire : rasage, douche, retrait des bijoux, prothèses, jeun…
  • Surveillance post-opératoire
  • Surveillance des complications 
  • Education du patient

9- Autres conseils

  • Jamais d’injection intramusculaire du côté de la prothèse.
  • Consulter au moindre signe d’infection (même si distant de la prothèse).
  • Eviter la surcharge pondérale
  • Eviter le port de charges lourdes
  • Si possible, préférer la douche à une baignoire.
  • Pour l’habillage, commencer par le côté de la prothèse pour éviter la luxation.

SOURCES


La chirurgie urologique se consacre au diagnostic et au traitement des atteintes congénitales, infectieuses, lithiasiques, traumatiques et tumorales des appareils urinaires masculin et féminin (rein, bassinet, uretère, vessie, urètre) et de celles de l’appareil génital masculin (prostate, testicule, verge). L’urologie est à la fois une spécialité chirurgicale mais aussi médicale puisqu’elle prend en charge certains patients sans avoir recours à des interventions chirurgicales.



Population essentiellement rencontrée

Vous pouvez rencontrer tous les âges (entre 30 et 99 ans essentiellement). Vous rencontrerez également des patients paraplégiques et tétraplégiques à cause de leur vessie neurologique.


Équipe professionnelle essentiellement rencontrée

  • Chirurgien urologue
  • Infirmier(e) de Bloc Opératoire
  • Infirmier(e) Anesthésiste
  • Médecin Anesthésiste
  • Interne / Externe
  • Cadre de santé
  • Infirmier(e) diplômé(e) d’état
  • Aide-soignant(e)
  • Agent de Service Hospitalier Qualifié(e)
  • Kinésithérapeute
  • Secrétaire médical(e)
  • Psychologue
  • Assistant(e) social(e)

Cette liste est non exhaustive. Vous pouvez rencontrer, selon les services et habitudes de service, d’autres professionnels de santé, des agents des services techniques…


Soins essentiellement rencontrés

  • Soins d’hygiène et de confort
  • Entretien d’accueil du patient
  • Surveillance des paramètres vitaux
  • Préparation pré-opératoire
  • Surveillance post-opératoire
  • Pose et ablation de sonde urinaire
  • Lavage vésical
  • Surveillance et ablation de Redon/drain
  • Prélèvement veineux
  • Préparation, pose et surveillance de pompe à morphine
  • Pose et surveillance de cathéter veineux périphérique
  • Pose et surveillance de transfusion
  • Préparation et administration d’antibiotique
  • Pansement simple
  • Pansement complexe
  • Électrocardiogramme
  • Changement de poche de stomie urinaire (Bricker)
  • Utilisation de pousse seringue électrique

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principaux soins rencontrés.


Traitements essentiellement rencontrés

  • Alpha-bloquants
  • Antibiotiques
  • Anticoagulants
  • Poche de lavage vésical
  • Antalgiques
  • Chimiothérapie
  • Diurétiques

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principaux traitements rencontrés.


Pathologies essentiellement rencontrées

  • Insuffisance rénale aiguë et chronique
  • Calculs urinaires et rénaux
  • Cancer du rein (néphrectomie partielle ou totale)
  • Pyélonéphrite
  • Fracture du rein
  • Biopsie prostatique
  • Cancer de la prostate
  • Adénome de la prostate
  • Rétention aiguë d’urine
  • Cancer du testicule
  • Torsion du testicule
  • Torsion de la verge
  • Rupture des corps caverneux
  • Sténose de l’urètre
  • Urétrite
  • Sphincter artificiel (AMS 800)
  • Prothèse érectile (AMS 700)
  • Cystite aiguë bactérienne
  • Biopsie de la vessie
  • Tumeur de la vessie
  • Pose ou changement de sonde mono-J ou JJ
  • RTUP/RTUV (Résection trans urétrale de la prostate / vessie
  • Cure de jonction
  • Orchidectomie
  • Prostatectomie
  • Curage ganglionnaire
  • Entérocystoplastie
  • Bricker
  • Infection urinaire

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principales pathologies rencontrées.


Prérequis

  • Connaissance rigoureuse de règles d’hygiène et d’asepsie
  • Connaissance du système rénal et du système urinaire
  • Connaissance des appareils génitaux (masculin et féminin)
  • Pharmacologie
  • Surveillance pré et post-opératoire
  • Calculs de dose
  • Soins relationnels
  • Recherches sur les pathologies prévalentes

Dans tous les cas, l’ensemble de ces notions seront présentes tout au long de votre stage. Ces quelques conseils vous permettront seulement d’être un peu plus à l’aise lors du début de votre stage. N’hésitez pas à interpeller les professionnels de santé s’il y a des choses que vous ne comprenez pas ; mais essayez également de rechercher par vos propres moyens à l’aide des différents outils (ou ressources) à votre disposition dans le service. Nous vous souhaitons un très bon stage.


La chirurgie thoracique traite les affections de la paroi thoracique, de la plèvre, de la cavité pleurale, de l’arbre bronchique et des poumons nécessitant une prise en charge chirurgicale.



Population essentiellement rencontrée

Vous pouvez rencontrer des personnes de tous les âges.


Équipe professionnelle essentiellement rencontrée

  • Chirurgien
  • Interne
  • Infirmier(e) Diplômé(e) d’Etat
  • Infirmier(e) de Bloc Opératoire
  • Infirmier(e) Anesthésiste
  • Aide-soignant(e)
  • Agent de Service Hospitalier Qualifié(e)
  • Kinésithérapeute
  • Médecin anesthésiste
  • Pneumologue
  • Secrétaire médical(e)
  • Assistant(e) social(e)
  • Cadre de santé
  • Tabacologue

Cette liste est non exhaustive. Vous pouvez rencontrer, selon les services et habitudes de service, d’autres professionnels de santé, des agents des services techniques…


Soins essentiellement rencontrés

  • Soins d’hygiène et de confort
  • Réalisation d’entretien d’accueil
  • Organisation de la sortie d’un patient (retour à domicile, transfert en SSR…)
  • Préparation pré-opératoire
  • Surveillances post opératoires (constantes, drains…)
  • Electrocardiogramme
  • Prélèvements veineux
  • Pose et surveillance de cathéter veineux périphérique
  • Injections sous cutanées
  • Préparation et administration des traitements intraveineux
  • Pansements simples
  • Ablation de fils et agrafes
  • Surveillance de drains thoraciques
  • Pose et surveillance d’oxygénothérapie
  • Administration médicamenteuse par aérosol
  • Gaz du sang
  • Gestion de PCA
  • Pose et surveillance de sonde vésicale
  • Pose et surveillance de sonde nasogastrique
  • Soins de trachéotomie

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principaux soins rencontrés.


Traitements essentiellement rencontrés

  • Anticoagulants
  • Chimiothérapie
  • Antalgiques
  • Bronchodilatateurs
  • Antibiotiques
  • Diurétiques

Cette liste est non-exhaustive et regroupe les principaux traitements rencontrés.


Pathologies essentiellement rencontrées

  • Cancer pulmonaire et bronchique
  • Pneumothorax
  • Hémothorax
  • Emphysème
  • Pleurésie
  • Hernie diaphragmatique
  • Traumatismes thoraciques

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principales pathologies rencontrées.


Prérequis

  • Règles d’hygiène et d’asepsie
  • Anatomie et physiologie du système respiratoire (poumons, plèvre, arbre bronchique….)
  • Pharmacologie (antalgiques, anticoagulants)
  • Connaissances générales sur les cancers (tumeurs, métastases…)
  • Surveillance pré et post-opératoire
  • Calcul de doses
  • Soins relationnels

Dans tous les cas, l’ensemble de ces notions seront présentes tout au long de votre stage. Ces quelques conseils vous permettront seulement d’être un peu plus à l’aise lors du début de votre stage. N’hésitez pas à interpeller les professionnels de santé s’il y a des choses que vous ne comprenez pas ; mais essayez également de rechercher par vos propres moyens à l’aide des différents outils (ou ressources) à votre disposition dans le service. Nous vous souhaitons un très bon stage.


La chirurgie ambulatoire ophtalmique comprend tous les traitements invasifs de l’œil et ses annexes (orbite, muscles oculomoteurs, glandes lacrymales…). Elle intervient lorsque les traitements par appareillages (lunettes) et collyres ne suffisent pas.



Population essentiellement rencontrée

Vous pouvez rencontrer des patients de tous les âges, avec cependant des spécificités selon les pathologies.


Équipe professionnelle essentiellement rencontrée

  • Chirurgien ophtalmologiste
  • Médecin anesthésiste-réanimateur
  • Infirmier(e) Diplômé(e) d’Etat
  • Infirmier(e) de Bloc Opératoire
  • Infirmier(e) Anesthésiste
  • Aide-Soignant(e)
  • Secrétaire médical(e)
  • Agent de Service Hospitalier Qualifié(e)
  • Brancardier(e)
  • Cadre de Santé

Cette liste est non exhaustive. Vous pouvez rencontrer, selon les services et habitudes de service, d’autres professionnels de santé, des agents des services techniques…


Soins essentiellement rencontrés

  • Soins pré et post opératoires
  • Prise de constantes
  • Ponctions veineuses
  • Pansements oculaires
  • Surveillance monitorée de constantes (Bloc + SSPI)
  • Pose et surveillance de cathéter veineux périphérique
  • Réalisation d’entrées et de sorties de patients
  • Éducations aux traitements, aux règles hygiéno-diététiques

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principaux soins rencontrés.


Traitements essentiellement rencontrés

  • Anti-inflammatoires ophtalmiques
  • Anti-glaucomateux
  • Mydriatiques
  • Antiviraux ophtalmiques
  • Produits de contactologie
  • Solutions pour lavage oculaire externe
  • Suppléance lacrymale
  • Vitamine A
  • Antibiotiques

Cette liste est non-exhaustive et regroupe les principaux traitements rencontrés.


Pathologies essentiellement rencontrées

  • Cataracte avec pose d’implant
  • Glaucome
  • Entropion et ectropion
  • Strabisme
  • Greffe de cornées
  • Plaie de paupière
  • Décollement de la rétine
  • Injections intra-vitréennes
  • Intubation bi-caniculo-nasale
  • Brûlure cornéenne
  • Plaie transfixiante

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principales pathologies rencontrées.


Prérequis

  • Connaissances anatomiques et physiologiques de l’oeil
  • Connaissance des différentes pathologies énoncées
  • Connaissance des normes des paramètres vitaux
  • Connaissance des précautions standard et complémentaires
  • Connaissance des gestes d’urgence vitale
  • Connaissance des différents types d’anesthésies

Dans tous les cas, l’ensemble de ces notions seront présentes tout au long de votre stage. Ces quelques conseils vous permettront seulement d’être un peu plus à l’aise lors du début de votre stage. N’hésitez pas à interpeller les professionnels de santé s’il y a des choses que vous ne comprenez pas ; mais essayez également de rechercher par vos propres moyens à l’aide des différents outils (ou ressources) à votre disposition dans le service. Nous vous souhaitons un très bon stage.


L’ORL (ou otorhinolaryngologie) est une discipline qui étudie les oreilles (externes, moyennes et internes), les fosses nasales, le pharynx et le larynx. Assez souvent, les services d’ORL et chirurgie ORL sont rassemblés dans le même. En complément, des consultations ORL peuvent avoir lieu.



Population essentiellement rencontrée

Vous rencontrerez des patients de tous les âges. Les enfants seront néanmoins pris en charge dans un service pédiatrique (général ou spécialisé).


Equipe professionnelle essentiellement rencontrée

  • Médecin / chirurgien ORL
  • Interne de médecine générale et spécialisé
  • Infirmier(e) diplômé(e) d’Etat
  • Aide-soignant(e)
  • ASHQ
  • Infirmier(e) anesthésiste diplômé(e) d’Etat
  • Secrétaire
  • Orthophoniste
  • Kinésithérapeute
  • Diététicien(ne)
  • Psychologue
  • Médecin anesthésiste
  • Cadre de santé

Cette liste est non exhaustive. Vous pouvez rencontrer, selon les services et habitudes de service, d’autres professionnels de santé, des agents des services techniques…


Soins essentiellement rencontrés

  • Mesure des paramètres vitaux
  • Evaluation de la douleur
  • Préparation et administration de traitement intraveineux, intramusculaire ou sous-cutané
  • Soins d’hygiène et de confort
  • Soins pré et post-opératoires
  • Réalisation d’une entrée et sortie d’un patient
  • Ponction veineuse
  • Réalisation de pansement simple et complexe
  • Retrait de fils, agrafes…
  • Education à la sonde nasogastrique, gastrostomie…
  • Audiométrie
  • Aide à l’otoscopie
  • Lavage médical d’oreille
  • Pose et surveillance de cathéter veineux périphérique
  • Manipulation et surveillance de voie centrale (cathéter à chambre implantable, picc-line, cathéter central…)
  • Soins de trachéotomie
  • Aspiration bronchique
  • Pose et surveillance de transfusion
  • Pose et surveillance de sonde nasogastrique
  • Surveillance et ablation de drain
  • Manipulation de gastrostomie
  • Manipulation de pompe à nutrition
  • Retrait de corps étranger
  • Aide à la paracentèse

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principaux soins rencontrés.


Traitements essentiellement rencontrés

  • Antalgiques
  • Antibiotiques
  • Alimentation entérale et parentérale
  • Anti-inflammatoires

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principaux traitements rencontrés.


Pathologies essentiellement rencontrées

  • Différents cancers nécessitant un traitement chirurgical
  • Angine
  • Phlegmon
  • Neurinome
  • Tympanoplastie
  • Rhinoplastie
  • Otalgie / Otite
  • Déficit auditif
  • Mastoïdite
  • Syndrome vestibulaire périphérique
  • Corps étranger laryngé
  • Sténose laryngoscope-trachéale
  • Cholestéatome
  • Otospongiose
  • Implant cochléaire
  • Thyroïdectomie partielle ou totale
  • Amygdalectomie / Adénoïdectomie
  • Obstruction du conduit auditif externe
  • Otorragie
  • Perforation du tympan
  • Sinusite
  • Laryngite aigüe ou chronique
  • Epiglottite


Cette liste est non exhaustive et regroupe les principales pathologies rencontrées.


Prérequis

  • Connaissance de l’anatomie et physiologie du système ORL.
  • Connaissance des os de la face et du crâne.
  • Connaissance des règles d’hygiène et d’asepsie.
  • Avoir des notions sur les processus dégénératifs (cancers…)

Dans tous les cas, l’ensemble de ces notions seront présentes tout au long de votre stage. Ces quelques conseils vous permettront seulement d’être un peu plus à l’aise lors du début de votre stage. N’hésitez pas à interpeller les professionnels de santé s’il y a des choses que vous ne comprenez pas ; mais essayez également de rechercher par vos propres moyens à l’aide des différents outils (ou ressources) à votre disposition dans le service. Nous vous souhaitons un très bon stage.


Le service de chirurgie de courte durée (entre 1 et 5 nuits maximum) regroupe tous les types de disciplines chirurgicales : viscérale, orthopédique, vasculaire, urologique, gynécologique, ophtalmologique… Certains patients ont une pathologie relevant de la chirurgie ambulatoire mais ne répondent pas aux critères (seul la nuit au retour à domicile par exemple)



Population essentiellement rencontrée

Vous rencontrerez des patients de tous les âges. Si une chirurgie pédiatrique existe (ou un service de pédiatrie), les enfants seront pris en charge au niveau de cette unité. Les entrées en service de chirurgie peuvent se faire de façon programmées ou au contraire, dans l’urgence.


Equipe professionnelle essentiellement rencontrée

  • Chirurgien
  • Médecin anesthésiste-réanimateur
  • Interne de chirurgie
  • Infirmier(e) diplômé(e) d’Etat
  • Infirmier(e) de bloc opératoire diplômé(e) d’Etat
  • Infirmier(e) anesthésiste diplômé(e) d’Etat
  • Secrétaire médical(e)
  • Manipulateur(rice) radio
  • Kinésithérapeute
  • Diététicien(ne)
  • Assistant(e) social(e)
  • Aide-soignant(e)
  • Agent de Service Hospitalier Qualifié(e)
  • Cadre de santé

Cette liste est non exhaustive. Vous pouvez rencontrer, selon les services et habitudes de service, d’autres professionnels de santé, des agents des services techniques…


Soins essentiellement rencontrés

  • Prélèvement veineux
  • Pose et surveillance de cathéter veineux périphérique
  • Réalisation d’une entrée et sortie de patient
  • Soins pré-opératoires
  • Soins et surveillance post-opératoires
  • Préparation et administration de traitement intraveineux, intramusculaire, sous-cutané…
  • Prélèvement capillaire
  • Mesure de paramètres vitaux
  • Pansements simples
  • Surveillance et retrait de drain, lame, crins…
  • Ablation de drain, agrafe ou fil
  • Pose, surveillance et ablation de sonde nasogastrique
  • Evaluation et prise en charge de la douleur
  • Soins d’hygiène et de confort
  • Education thérapeutique au patient

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principaux soins rencontrés.


Traitements essentiellement rencontrés

  • Antalgiques
  • Antibiotiques
  • Antihypertenseurs
  • Anticoagulants
  • Anti-inflammatoires

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principaux traitements rencontrés.


Pathologies essentiellement rencontrées

  • Fractures ouvertes
  • Fractures fermées
  • Canal carpien
  • Ligamentoplastie
  • Ablation de matériel orthopédique
  • Appendicectomie
  • Cholécystite
  • Hernie étranglée
  • Abcès
  • Hernie inguinale, ombilicale
  • Lipome
  • Hystérectomie
  • Ligature des trompes
  • Curetage gynécologique
  • Ablation de kyste ovarien
  • Torsion d’ovaire ou de testicule
  • Dilatation vasculaire des membres inférieurs
  • Création de fistule artérioveineuse
  • Amputation d’orteil
  • Résection transurétrale de la prostate
  • Résection transurétrale de la vessie
  • Rétention aiguë d’urine
  • Hématurie
  • Cataracte
  • Sclérectomie
  • Décollement rétine
  • Ablation de corps étranger oculaire
  • Abcès de cornée

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principales pathologies rencontrées.


Prérequis

  • Connaissance de l’anatomie et de la physiologie du corps humain
  • Connaissance des différents types d’anesthésies et leurs conséquences
  • Connaissance des différents textes législatifs concernant la chirurgie et les anesthésies
  • Connaissance des règles d’asepsie et d’hygiène
  • Connaissance des base de l’éducation thérapeutique

Dans tous les cas, l’ensemble de ces notions seront présentes tout au long de votre stage. Ces quelques conseils vous permettront seulement d’être un peu plus à l’aise lors du début de votre stage. N’hésitez pas à interpeller les professionnels de santé s’il y a des choses que vous ne comprenez pas ; mais essayez également de rechercher par vos propres moyens à l’aide des différents outils (ou ressources) à votre disposition dans le service. Nous vous souhaitons un très bon stage.



L’orthopédie est une spécialité chirurgicale qui concerne le traitement de toutes les affections de l’appareil locomoteur (os, articulations, muscles…). Elle concerne aussi bien les membres supérieurs qu’inférieurs, la cage thoracique, le rachis… La traumatologie est définie comme étant l’étude médicale des traumatismes physiques.



Population rencontrée

Vous rencontrerez des patients de tous les âges (avec une prédominance >60 ans).


Equipe professionnelle essentiellement rencontrée

  • Chirurgien orthopédiste
  • Médecin
  • Interne de médecine générale
  • Interne d’orthopédie
  • Infirmier(e) diplômé(e) d’Etat
  • Manipulateur radio
  • Aide-soignant(e)
  • Kinésithérapeute
  • Secrétaire
  • Médecin anesthésiste
  • Assistant(e) social(e)
  • ASHQ

Cette liste est non exhaustive. Vous pouvez rencontrer, selon les services et habitudes de service, d’autres professionnels de santé, des agents des services techniques,…


Soins essentiellement rencontrés

  • Soins pré et postopératoires
  • Pansement postopératoire
  • Ablation de drain, fils, agrafes
  • Education au plâtre
  • Education aux prothèses
  • Pose et surveillance de perfusion
  • Pose et surveillance de cathéter périphérique
  • Electrocardiogramme
  • Pose et surveillance de transfusion
  • Bilan sanguin
  • Evaluation de la douleur
  • Prévention d’escarre
  • Prévention du risque thromboembolique
  • Pose et surveillance de sonde urinaire
  • Surveillance de cathéter péri-nerveux
  • Réalisation d’une entrée et sortie de patient
  • Soins d’hygiène et de confort
  • Préparation et administration de traitements intraveineux, sous-cutanés
  • Mesure des paramètres vitaux

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principaux soins rencontrés.


Traitements essentiellement rencontrés

  • Antalgiques
  • Antibiotiques
  • Anticoagulants
  • Solutés de perfusion
  • Anti-inflammatoires

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principaux traitements rencontrés.


Pathologies essentiellement rencontrées

  • Fracture
  • Entorse
  • Rupture de tendon
  • Arthrite
  • Arthrose
  • Kyste synovial
  • Rupture ligamentaire
  • Ostéoporose
  • Exploration de plaie
  • Mise en place de prothèse (genou, hanche,…)
  • Mise en place de matériel (clou, plaque, vis…)

Cette liste est non exhaustive et regroupe les principales pathologies rencontrées.


Prérequis

  • Connaissance de l’appareil locomoteur
  • Connaissance de l’appareil musculaire
  • Connaissance des différents types de fractures et leurs conséquences
  • Connaissance des différents types d’anesthésie
  • Connaissance des risques liés au plâtre, à une prothèse, …
  • Connaissance des signes de thrombose veineuse profonde et d’embolie pulmonaire
  • Connaissance des signes locaux et généraux de l’infection
  • Connaissance des règles d’hygiène et d’asepsie
  • Connaissance des différents outils d’évaluation de la douleur

Dans tous les cas, l’ensemble de ces notions seront présentes tout au long de votre stage. Ces quelques conseils vous permettront seulement d’être un peu plus à l’aise lors du début de votre stage. N’hésitez pas à interpeller les professionnels de santé s’il y a des choses que vous ne comprenez pas ; mais essayez également de rechercher par vos propres moyens à l’aide des différents outils (ou ressources) à votre disposition dans le service. Nous vous souhaitons un très bon stage.