Morgane vous propose de consulter son travail de fin d’étude sur l’accompagnement à la fin de vie du patient et de son entourage ainsi que la gestion des émotions des soignants.


Au regard de l’augmentation des maladies chroniques, les soignants seront probablement confrontés, au cours de leur carrière professionnelle, à prendre en soin des patients se trouvant dans un contexte de fin de vie. Cette proximité avec la mort peut s’avérer être une étape difficile autant pour la personne soignée que pour le soignant accompagnant. J’ai moi-même été confrontée à mes propres émotions, au cœur d’une situation de fin vie. Je me suis alors questionnée sur la place des émotions du soignant, ainsi que sur la façon dont celles-ci peuvent interférer dans la relation et le processus d’accompagnement d’un patient en fin de vie et de ses proches. Cette réflexion a constitué le point de départ de mon travail de recherche.

Par la suite, j’ai abordé des concepts clés tels que l’accompagnement, la gestion des émotions, l’intelligence émotionnelle et la « juste » distance professionnelle. Les entretiens réalisés sur le terrain auprès de deux infirmières ont fait ressortir l’importance de l’expérience et d’une bonne connaissance de soi-même pour parvenir à une meilleure maîtrise de nos émotions au travail. Cela m’a permis de rédiger une hypothèse de recherche. En tant que future professionnelle, il est essentiel de parvenir à gérer ses maux et ce travail m’a aidé à le comprendre et à connaitre les ressources pour atteindre cette maîtrise.

Mots clés : accompagnement, fin de vie, émotions, juste distance professionnelle, expérience, connaissance de soi.



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Ludivine a soutenu en 2015, son travail de recherche et obtenu la note de 18/20. Son thème est la séropositivité. Voici un résumé.


Ce mémoire de fin d’études s’intéresse aux attitudes des infirmiers lors de la prise en soin d’un patient séropositif. L’infirmier est un professionnel mais aussi une personne à part entière.

Alors comment conjuguer attitudes personnelles et celles exigées par la profession ?

Plusieurs infirmières sur le terrain se sont prêtées au jeu de mes interviews. Elles se sont exprimées sur leur représentation du VIH, des personnes séropositives et leur façon de les prendre en soin.

Les émotions, lorsqu’elles se mêlent aux devoirs professionnels, peuvent provoquer divers comportements. La peur de la personne séropositive est une réalité. Cette maladie effraie puisqu’elle est contagieuse et n’a pas de traitement curatif. Un manque d’information sur la maladie et sa contagion pourrait expliquer cette peur.

De cette réalité découle la possibilité de discrimination et de jugement de la part des soignantes qui agissent selon leurs propres représentations et valeurs.

Certaines éprouvent parfois de la tristesse au constat de la différence de traitement et peuvent manifester de l’empathie que le patient pourrait considérer comme de la pitié.

Le principal objectif de ce mémoire d’essayer d’identifier les différentes attitudes, d’en comprendre les facteurs déclenchants et les conséquences, sans jugement de valeurs.

Mots clés : séropositif, attitude, soignant, émotions, prise en soin



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Emy a soutenu, en 2016, son travail de recherche et a obtenu la note de 17,75/20. Elle vous propose de consulter son écrit. Voici le résumé.


Ce travail aborde le sujet de l’émotion du soignant ayant un vécu douloureux.

Lors de ma deuxième année d’étude, j’ai pu constater au travers de mon expérience que les émotions du soignant liées à un vécu douloureux pouvaient être handicapantes dans l’exercice de son métier. En tant que future infirmière, j’ai voulu savoir à quel point cela pouvait mettre le soignant et le soigné en difficulté.

Ainsi, la question de départ de mon travail de fin d’études est : dans quelle mesure les émotions de l’infirmier qui le ramènent à un vécu douloureux influent- elles la relation soignant/soigné ?

En confrontant l’analyse d’entretiens semi-directif effectués auprès d’infirmiers à mes recherches théoriques, j’ai pu conclure que ces émotions peuvent modifier la relation soignant-soigné mais, si les infirmiers assurent la continué des soins, il semblerait qu’il subsiste chez eux une souffrance psychologique.

Cela mène à ma question de recherche : Un accès à des dispositifs officiels, proposés par la structure où l’infirmier travaille, pour faciliter la gestion de ses émotions, l’aiderait à apprivoiser des situations émotionnellement difficiles et à avoir une posture professionnelle plus équilibrée.

Mots clés : Relation soignant- soigné, Emotions, Contre-transfert.



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Valentin vous propose de consulter son mémoire sur les émotions dans la relation de soin avec une personne en fin de vie. Il a soutenu son travail en Janvier 2017.


Les situations de fin de vie ne sont jamais faciles à vivre pour le soignant, l’auteur de ce travail d’étude ne peut expliquer tout les aspects de cette prise en soin particulière, mais va tenter par différents concepts de mieux comprendre ce que cette relation peut induire pour le soignant comme pour le soigné.

Une relation ne peut se faire sans émotion, et certains mécanismes de défense peuvent se mettre en place pour se protéger de l’autre, il est nécessaire de les prendre en compte pour comprendre les enjeux de la relation soignant-soigné.

L’auteur a travaillé sur ce sujet et a émis une hypothèse qu’il tente de vérifier auprès d’infirmières diplômées en les interrogeant sur certains aspects de ce cet accompagnement, dont les mécanismes de défenses. À travers leurs réponses, l’auteur pourra confirmer ou contredire l’hypothèse qu’il avait émis auparavant.

Mots clés : Relation, accompagnement, fin de vie, mécanismes de défense, émotions, …



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Cathy vous propose de lire son travail de recherche sur les émotions de l’IDE en situation d’urgence. Cet écrit est orienté vers l’influence de l’équipe sur le vécu émotionnel de l’IDE.


J’ai toujours pensé qu’étant préparée, et formée tout au long de sa carrière à la gestion de situations d’urgence, l’infirmière devait parfaitement maîtriser ses émotions. En effet, l’objectif est clairement défini : être rapide et efficace pour stabiliser le patient, souvent au détriment de la réflexion ou des émotions qui sont perçues comme un frein à l’efficience.

Partie d’une situation de départ survenue au cours d’un stage en unité de Réanimation, où j’ai participé à un massage cardiaque, je me suis questionnée sur la place des émotions et leur influence sur la pratique de l’infirmière en situation d’urgence.

Des entretiens comparatifs auprès d’infirmières exerçant au sein de divers services à plus ou moins forte prévalence de situations mettant en jeu le pronostic vital des patients, ont permis de démontrer que certains facteurs influencent la gestion émotionnelle et l’adoption des mécanismes adaptatifs chez l’infirmière en situation d’urgence, notamment l’équipe soignante.

Mes recherches autour de concepts en psychologie sociale m’ont permis de déduire que le fonctionnement hiérarchisé et coordonné de l’équipe soignante apparaît comme un élément indispensable au bon déroulement de la situation d’urgence. Le leader occupe donc une place primordiale car il demeure le garant d’un climat émotionnel positif. Pourtant, il peut transmettre une émotion négative contaminant l’infirmière, et altérant sa capacité d’agir.

Mots clés : Situation d’urgence, émotions, dynamique d’équipe, réanimation, infirmière



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