Floriane vous propose de consulter son mémoire sur un thème très paradoxal : vivre la mort, quand expériences et représentations influencent nos prises en charge.


Maurice ABIVEN, médecin humaniste français et créateur de la première unité de soins palliatifs en France, explique que « Le contact permanent avec des crises qui se succèdent et se côtoient dans un même lieu n’est pas sans incidence pour le soignant.». Il questionne également le lecteur : « Peut-on travailler sans souffrir dans un lieu où l’on ne cesse de mourir ? sans vivre ses propres crises ? sans finalement se transformer ? […] Comment chacun concilie-t-il son idéal avec ses limites et celles de l’institution ? Quel rôle jouent les motivations, les idéologies dans la façon de gérer cette souffrance ?». Le « contact » répété ou non à la mort constitue une expérience et l’idéal n’est autre qu’une représentation. Le terme « se transformer » exprime clairement un changement, une influence chez le soignant qui se répercutera tôt ou tard dans sa prise en charge du patient.

Mots clés : soins palliatifs, morts, décès, accompagnement, infirmier, oncologie, …



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Océane vous propose de consulter sont travail de recherche sur le thème des émotions dans le cadre de la fin de vie.


Lors d’un de mes stages, j’ai du faire face à certaines situations de fin de vie dont une qui m’a particulièrement touché. Dans ce mémoire, j’ai voulu mettre en évidence le lien qui existait entre les émotions du soignant et la juste distance qu’il faut donc adopter avec le patient en fin de vie qu’il prend en charge.

Afin d’enrichir mes connaissances, j’ai effectué des recherches qui ont pu mettre en avant les différents concepts de mon cadre théorique. Après avoir effectué mes recherches, j’ai pu poser la problématique suivante : « Comment les émotions peuvent elles influencer la juste distance relationnelle de l’infirmier face à un patient en fin de vie ? ». J’ai ensuite émis les hypothèses suivantes : certaines émotions dite négatives peuvent induire la mise à distance du patient et d’autres dites positives peuvent favoriser une distance relationnelle plus proche avec le soignant. Ma deuxième hypothèse étant : c’est avec l’expérience que l’infirmier pourra contenir ses émotions et ainsi assurer une juste distance relationnelle avec le patient en fin de vie. Afin de valider ou non mes hypothèses, j’ai effectué des entretiens auprès d’infirmiers de pneumologie, de soins palliatifs et enfin de médecin interne oncologie. Au vue des résultats, ma première hypothèse est partiellement validée. En effet certaines infirmières pensent que les émotions négatives peuvent être parfois positives. Ma seconde hypothèse quant à elle est validée. L’expérience professionnelle permet à l’infirmier une gestion des émotions et ainsi une maîtrise de la distance relationnelle.

Mots clés : juste distance, émotion, patient en fin de vie, rôle infirmier, accompagnement, législation.



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Marianne vous propose de consulter son travail de recherche sur le thème de la triade patient-aidant(s)-IDE dans la spécificité des soins à domicile


Me voici arrivée à l’étape de la formation en soins infirmiers où il faut rédiger le fameux « mémoire ».

Mon stage de semestre 5 en soins à domicile m’a particulièrement plu, alors mon travail s’est naturellement orienté vers ce domaine qui m’a intéressée et interrogée.

Mais parmi toutes les questions que pose ce domaine, il fallait en choisir une.

Pour ma part, j’ai choisi d’étudier la place et le rôle accordé par l’infirmière à l’aidant de la personne soignée à domicile. En effet, en dix semaines de stage avec les infirmières à domicile, j’avais déjà pu observer un bon nombre de situations différentes, chacune étant unique. Il m’est apparu que les aidants ont une certaine importance dans la prise en charge des soins d’une personne à domicile. Bien plus que par rapport à ce que j’avais pu voir en structure.

De plus, durant la formation en soins infirmiers, le rôle de la famille ou des aidants des patients est un sujet peu développé.

En effet, on l’évoque lorsque l’on parle du recueil de données à l’admission par exemple. On en parle un peu plus dans les cours d’éducation thérapeutique ou de soins palliatifs, mais j’ai trouvé que cela n’est pas très développé alors que l’on y est confronté régulièrement, dès lors que l’on travaille avec de l’humain.

Dans le texte régissant l’exercice de la profession infirmière, la place de la famille apparaît de la façon suivante : «  Dans le cadre de son rôle propre, l’infirmier ou l’infirmière accomplit les actes ou dispense les soins suivants visant à identifier les risques et à assurer le confort et la sécurité de la personne et de son environnement et comprenant son information et celle de son entourage ».

Or, au fil de mes lectures j’apprends qu’il semblerait que les besoins de l’entourage de la personne soignée ne soient pas encore clairement identifiés, ni même pris en considération. Je vais alors développer dans ce travail, ce qu’il en est, dans le cadre des soins infirmier à domicile.

Dans ce travail, je parle des infirmières en genre féminin afin de faciliter la lecture, sauf dans la partie qui traite les entretiens d’enquête, car j’ai interrogé un infirmier.

Mots clés : Patient, soins à domicile, IDE, accompagnement, aidants.



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