Quelques pistes pour écrire une lettre de motivation. Ce modèle n’est pas exhaustif, et vous devrez l’adapter aux circonstances.



1- La lettre de motivation

Une lettre se décompose en 3 parties : une entête, un corps de lettre, et une formule de politesse / signature. De préférence écrite de manière manuscrite, vous pouvez également la faire via un logiciel de traitement de texte. Sauf consigne contraire, cette lettre sera envoyée en recommandé avec accusé de réception.


2- L’entête

Exemple d’entête

3- Le corps de lettre

Il débute toujours par une nomination de la personne à qui vous adressez votre courrier. Le corps de votre lettre se décompose en plusieurs paragraphes. Voici un exemple ….

Exemple de corps de lettre

4- Formule de politesse et signature

Vous devez toujours finir sur une note où vous indiquez votre disponibilité à votre destinataire. Vous devez également signer votre lettre, en marquant votre nom et votre prénom et en signant. Eviter de seulement faire votre signature « manuscrite ».

Exemple de formule de politesse


Ce qui donne en version finale

Vous trouverez dans cet article un exemple (parmi tant d’autres) de CV. Il est destiné aux ESI afin de postuler pour un emploi, mais également aux IDE qui souhaiteraient changer de service, secteur, hôpital…



  • NOM Prénom
  • Adresse précise
  • Âge, situation familiale
  • Numéro de téléphone/adresse mail

Expérience(s) en entreprise(s)

Vous pouvez noter ici si vous avez déjà exercé une profession (par exemple ASHQ avant d’entrer à l’IFSI, ou Aide Soignant pendant les vacances,…). Si vous êtes IDE déjà en poste, vous pouvez noter le(s) service(s) où vous avez pratiqué l’art infirmier, ainsi que vos différentes implications dans ceux-ci. Notez vos expériences de la plus récente à la plus ancienne.

Exemple :

– Juillet 2015 – Aout 2015, Aide soignant, Lieu d’exercice et ville.

Vous pouvez rajouter un court commentaire si vous souhaitez préciser un point.

•Juillet 2014 – Aout 2014, Aide Soignant, Lieu d’exercice et ville.

Vous pouvez rajouter un court commentaire si vous souhaitez préciser un point.


Formations

Vous noterez ici votre cursus de formation. Comme pour les expériences en entreprises, notez de la plus récente à la plus ancienne (qui est généralement le collège/Brevet). Si vous êtes IDE déjà en poste, vous pouvez également noter les différentes formations effectuées, les DU, …

Exemple :

– Septembre 2010 – Juillet 2013, Formation en Soins Infirmiers, IFSI XXXXXX, Ville

Obtention du DEI.

OU

– Septembre 2019 – Actuellement, Formation en Soins Infirmiers, IFSI XXXXXX, Ville

Commentaire si nécessaire.

– Mois et année début / mois et année fin, Lycée LLLLLLLLLLLL, Ville

Obtention du baccalauréat spécilaité +/- mention, idem pour tout ce qui concerne les bac pro, …

– Mois et année début / mois et année fin, collège CCCCCCCCC, Ville

Obtention du brevet des collèges +/- mention.


Informations complémentaires
  • Permis
  • Possédez-vous un moyen de locomotion ?
  • Autres formations : AFGSU ? PSC1 ?
  • Avez-vous une ou des passions ?
  • Quels sont vos 2 ou 3 loisirs préférés ?
  • Rajoutez toute information qui peut vous sembler utile.

Eviter trop de fantaisie dans la mise en page de votre CV. Il est votre carte de visite. Les fautes d’orthographe sont à bannir, ainsi que les mensonges. Ces derniers peuvent être assimilés à une faute professionnelle.

Les cancers colorectaux concernent en moyenne 42 000 personnes par an, et un peu plus de 17 000 en décèdent. Ils sont les cancers digestifs les plus fréquents, et sont au deuxième rang des cancers les plus fréquents.



1- Rappels anatomiques

Le gros intestin (côlon + rectum) correspond à la dernière partie du tube digestif. Il débute après l’intestin grêle et est composé de plusieurs segments :

  • Le caecum, au niveau de la fosse iliaque droite.
  • Le côlon droit ascendant, situé au niveau du flan droit.
  • Le côlon transverse, qui traverse de part en part l’abdomen, en partant de l’hypochondre droit jusqu’a l’hypochondre gauche, au niveau de la rate.
  • Le côlon descendant , qui débute au niveau de l’hypochondre gauche et qui se termine en fosse iliaque gauche.
  • Le sigmoïde, qui est une portion mobile entre le côlon descendant et le rectum.
  • Le rectum, qui est la partie terminale, entre le sigmoïde et l’anus.

Le côlon intervient dans la digestion. Il a un rôle essentiel dans l’absorption de certains électrolytes, et dans l’absorption d’eau.


2- Les cancers colorectaux

Les cancers colorectaux se situent au second rang dans les cancers les plus courants. Ils se positionnent après le cancer pulmonaire chez l’homme, et celui du sein chez la femme.

Environ 40% des cancers touchent le rectum, et 60% le côlon. Ils correspondent à une tumeur maligne de la muqueuse, qui fait suite dans 70% des cas environ à une tumeur bénigne (appelée polypes). Le délai entre l’apparition d’un polype et sa transformation en cancer est de 7 à 10 ans. Le cancer colorectal le plus fréquent est un adénocarcinome (tumeur maligne développée aux dépens d’un épithélium glandulaire).

Le cancer colorectal se développe de manière locale initialement. il est possible que des cellules cancéreuses migrent par la circulation lymphatique ou sanguine pour constituer des métastases.

5 stades pour le cancer colorectal existent :

  • Stade 0 = cellules cancéreuses au niveau de la muqueuse (épithélium)
  • Stade 1 = Cellules cancéreuses dans le tissus conjonctif qui entoure la muqueuse (musculeuse).
  • Stade 2 = cellules cancéreuses au-delà de la musculeuse.
  • Stade 3 = cellules cancéreuses dans les ganglions lymphatiques.
  • Stade 4 = cellules cancéreuses dans les autres organes (métastases).

Sites et fréquences des métastases

Foie35%
Poumons19%
Rétropéritoine13%
Os4%

3- Facteurs de risque

  • Âge : le risque augmente après 50 ans.
  • Présence de polypes.
  • Habitudes de vie (alimentation riche en viande rouge, charcuterie, pauvre en fibres, consommation d’alcool, tabagisme…).
  • Antécédents familiaux.
  • Antécédents de maladie inflammatoire chronique de l’intestin (recto-colite hémorragique, maladie de Crohn…).
  • Syndrome de Lynch (maladie génétique à transmission autosomique dominante responsable de l’augmentation du risque de cancers colorectaux, sujet <40ans, associé à d’autres cancers, touche essentiellement le côlon droit).
  • Diabète.
  • Surpoids ou obésité

4- Symptômes

  • Modifications du transit inhabituelles et soudaines : constipation, alternance de constipation/diarrhée…
  • Rectorragie, melaena ou sang présent dans les selles de manière plus discrète.
  • Anémie (liée à la perte de sang).
  • Douleurs abdominales.
  • Altération de l’état général, asthénie
  • Perte de poids, perte d’appétit
  • Effet de masse abdominale
  • Occlusion si la tumeur est sténosante, perforation digestive, hémorragie

5- Dépistage et diagnostic

  • Le dépistage repose sur la recherche de sang dans les selles (Test Hémocult). Test proposé tous les 2 ans à partir de 50 ans.
  • Le diagnostic est établi avec la coloscopie et par la réalisation d’une biopsie.
  • Le bilan d’extension repose sur un examen clinique approfondi. Une tomodensitométrie thoracique et abdominopelvienne est prescrite à la recherche de métastases.

6- Traitement

  • Le traitement se fait en équipe pluridisciplinaire (médecins, paramédicaux, psychologue, assistant socio-éducatif..), et doit s’adapter au mode de vie du patient. Le traitement est soit curatif, soit palliatif.
  • Chirurgical : c’est le seul traitement curatif. Il consiste à pratiquer une exérèse de la tumeur : ablation de polype, curage ganglionnaire, hémicolectomie droite (si atteinte du côlon droit, hémicolectomie gauche (si atteinte du côlon gauche), amputation du rectum et/ou de l’anus… Il consiste également à la réalisation d’une colostomie. La chirurgie sera aussi un traitement possible pour les métastases hépatiques par exemple.
  • Chimiothérapie : elle est proposée en adjuvant ou en palliatif.
  • Radiothérapie : elle est proposée en préopératoire dans les cancers du rectum pour diminuer le risque de récidive locale. Elle a également un effet antalgique lorsque celle-ci est utilisée en palliatif.

Le choix du traitement dépend du stade d’évolution. Parfois, un seul suffit ; mais la plupart du temps, la prise en charge du cancer colorectal nécessite l’association de plusieurs traitements.

Le suivi du cancer colorectal se fait pendant minimum 5 ans. Il permet de déceler les récidives locales ou à distance, d’évaluer et prendre en charge les séquelles, de rechercher et prendre en charge les complications tardives liées aux traitements, d’organiser les soins de support nécessaires et de faciliter la réinsertion professionnelle. Il consiste en un examen clinique (avec imagerie et dosage de l’antigène carcinome-embryonnaire (ACE)) tous les 3 mois, et une coloscopie tous les 3 ans.


7- Prévention

  • Réalisation du test de dépistage tous les 2 ans chez les sujets de plus de 50 ans.
  • Arrêt du tabac.
  • Éviter la sédentarité.
  • Limiter la consommation d’alcool.
  • Manger des fruits, des légumes et des céréales.
  • Limiter la consommation de viande rouge, charcuterie, grillades…


SOURCES


Souvent décrié, perçu comme celui posant des limites non souhaitées, gérant les plannings à l’inverse de nos besoins, un fan inconditionnel des réunions… le cadre de santé a pourtant une fonction transversale et nécessaire à toute unité de soins.



Le cadre de santé est le garant de la sécurité du patient, de la sécurité des soins et des activités paramédicales du service. Il participe au respect des valeurs juridiques et professionnelles. Il collabore avec le corps médical, les services sociaux et tous les intervenants d’un service. Il est le logisticien de l’unité en coordonnant les prestations de maintenance ainsi que la logistique. Il contribue au développement des compétences des professionnels en individualisant les demandes.

Le cadre communique les informations venant de la direction aux équipes et réalise quand il est nécessaire une feedback.

Même si cette introduction du cadre paraît agréable, il est important qu’il fait également face à des contraintes : le facteur humain des agents évoluant avec la société et son contexte socio-politico-économique, les restrictions budgétaires influençant la gestion des effectifs…


Comment devenir cadre de santé ?

Plusieurs façons de faire existent. Souvent, il est demandés par la direction des soins de passer par l’étape « faisant fonction de cadre de santé » (F.F.C.S.). Cette phase et ses modalités sont propres à chaque structure. Il n’est pas nécessaire d’avoir une expérience de F.F.C.S pour se présenter au concours d’admission.

Ce concours permet l’entrée en Institut de Formation de Cadre de Santé (IFCS). Il est possible de faire appel à des préparations au concours, privées ou au sein d’IFCS. Le concours se déroule actuellement en deux étapes. La première correspond à un écrit de 4 heures et pouvant s’articuler autour de la réalisation d’une synthèse, d’un commentaire de texte ou de la rédaction d’un résumé. La seconde étape est un entretien oral avec un jury composé de 3 professionnels en accord avec le décret n° 95-926 du 18 Août 1995. Il peut-être articulé de la façon suivante :

  • Un formateur en IFCS ;
  • Un cadre supérieur ou directeur des soins ;
  • Un représentant du corps médical.

Vous présentez votre projet professionnel venant appuyer l’écrit fourni préalablement et une discussion débutera.

Le choix de l’IFCS peut avoir une importance. Actuellement, il faut choisir entre la réalisation d’un Master 2 ou d’une première année de Master. Les Masters proposés sont différents d’un IFCS à l’autre. Il vous faudra donc prendre en compte la gestion financière avec des frais parfois importants à avancer selon votre employeur, la gestion familiale, la gestion du temps et celle de l’investissement que demande la formation.


Qu’est-ce que la fonction de F.F.C.S ?

C’est un IDE (ou kinésithérapeute, ergothérapeute, technicien de la moratoire…) ayant pour projet professionnel de devenir Cadre de Santé (CS ou CDS). Suite à une demande de l’encadrement ou un entretien avec la direction des soins, l’IDE est promu en F.F.C.S. Il reste IDE mais fait le travail de cadre de santé. Il reste, bien évidemment, rémunéré selon son salaire IDE mais peut perdre certaines primes et les rémunérations des jours fériés/ week-end. C’est une passerelle qui permet de s’approprier la profession de cadre et de confirmer (ou non) le projet professionnel. Souvent considéré comme un poste compliqué, il faut prendre une place de cadre, sans l’être, et trouver la reconnaissance / confiance de l’équipe.

Les professionnels que vous encadrez auront des attentes à votre égard mais n’oublierons pas de vous rappeler que vous n’êtes pas diplômé cadre.


Qui est concerné par cette fonction de F.F.C.S. ?

Tout IDE, kinésithérapeute, préparateur en pharmacie, technicien de laboratoire, ergothérapeute justifiant d’au moins 4 ans d’expérience professionnelle. Devenir F.F.C.S est une choix de l’agent ou une proposition de la hiérarchie.

Dans une majorité des cas, il faut monter un dossier de projet professionnel (5 à 10 pages) développant les projets auxquels vous avez participé ou participez, votre vision de la profession de cadre, du faisant fonction. Suite à cela, un entretien est effectué avec la direction des soins et le directeur des ressources humaines (ou son représentant).

Vous voilà désormais faisant fonction de cadre de santé. Il va falloir se préparer au concours d’entrée en IFCS, soit en autonomie, soit en formation continue.

Dès lors que vous obtenez le concours, l’entrée en IFCS se fait sur la base d’une année universitaire (durée de 10 mois). Comme en université, il vous faut valider des partiels, un mémoire et effectuer des stages en entreprise, dans des unités de soins et en pédagogie (IFSI, GRETA, lycée…).


Les missions du cadre de santé en unité de soins

La fonction de cadre de santé est développée dans le référentiel du diplôme de cadre de santé : référentiel d’activités et de compétences. Il a été rédigé en 2012 par la Direction Générale de l’Offre de Soins (DGOS) du Ministère des Affaires Sociales et de la Santé. Il s’articule autour de 8 compétences :

  • Prévoir les activités et les moyens nécessaires pour un secteur d’activités de soin ;
  • Organiser et coordonner les activités du secteur d’activités de soin ;
  • Manager des équipes pluri-professionnelles dans un secteur d’activités de soins ;
  • Manager les compétences individuelles et collectives d’une équipe pluri-professionnelle ;
  • Contrôler et évaluer les activités ;
  • Conduire une démarche qualité et de gestion des risques ;
  • Conduire un projet, des travaux d’étude et de recherche ;
  • Communiquer, transmettre les informations et rendre compte.

Détailler toutes les activités en lien avec les compétences est impossible, nous vous proposons quelques exemples :

  • Gestion des plannings (congés annuels, plannings mensuels, absentéisme…) ;
  • Évaluation annuelle des professionnels ;
  • Gestion des formations pour les professionnels de l’unité ;
  • Participation à des groupes de travail, de projet de soins infirmiers, de rééducation et médico-technique (PSIRMT) s’inscrivant dans le projet d’établissement ;
  • Conduite de projets (restructuration de service avec développement d’une nouvelle activité, ouverture ou fermeture de service…) ou travaux (rénovation de chambres, salles d’examens…) ;
  • Réalisation ou actualisation de fiches de postes, protocoles…;

La liste peut être longue et dépendra de l’affectation du cadre de santé, des missions confiées par la direction des soins et du projet d’établissement.


Les missions du cadre de santé formateur

Le cadre de santé peut également exercer en Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) par exemple. Le référentiel de compétences de la DGOS développe également 8 compétences du cadre formateur :

  • Concevoir et organiser un dispositif de formation dans le domaine de la santé et des soins ;
  • Organiser et coordonner les parcours de formation en alternance dans le domaine de la santé et des soins ;
  • Concevoir et animer des actions de formation initiale et continue dans le domaine de la santé et des soins ;
  • Accompagner les personnes dans leur parcours de formation dans le domaine de la santé et des soins ;
  • Évaluer les connaissances et les compétences des personnes en formation dans le domaine de la santé et des soins ;
  • Évaluer la qualité des prestations et s’inscrire dans une démarche qualité ;
  • Conduire un projet, des travaux d’étude et de recherche ;
  • Communiquer, transmettre les informations et rendre compte.

Le cadre de santé formateur accompagne les étudiants dans le développement de leurs compétences, dans l’acquisition de la démarche réflexive et l’initiation au travail de recherche.


Évolution de carrière

Le cadre de santé peut poursuivre le développement de sa carrière s’il le souhaite. Après 3 ans de diplôme de cadre, il peut se présenter à un concours sur titre afin d’accéder au grade de cadre supérieur de santé. Il n’existe à ce jour, pas de formation spécifique identifiée.

Par la suite, il pourra également envisager de se présenter au concours d’entrée en École des Hautes Études de Santé Publique (E.H.E.S.P) pour suivre la formation des Directeurs de Soins. Celle-ci dure 12 mois.



SOURCES

– Ministère des Affaires Sociales et de la Santé – DGOS , Diplôme cadre de santé, Référentiels d’activités et de compétences. Décembre 2012.


Infirmier Anesthésiste Diplômé d’Etat

 

L’anesthésie est une des spécialisations possibles après deux années minimum d’exercice de la profession d’Infirmier.

 

 

1- DEFINITION

L’IADE (Infirmier Anesthésiste Diplômé d’Etat) est un infirmier spécialisé en anesthésie, soins d’urgence intra et extra hospitaliers, réanimation et prise en charge de la douleur.
Il y a en France, 9 500 IADE, dont 70% sont des femmes.

2- REFERENCES LEGISLATIVES

  • Décret n°2004-802 du 29 Juillet 2004 relatif aux parties IV et V du Code de la Santé Publique.
  • Arrêté du 23 Juillet 2012 relatif à la formation conduisant au Diplôme d’IADE.

3- FORMATION

  • Durée de 24 mois
  • Concours d’entrée qui comprend une épreuve écrite permettant d’évaluer les connaissances scientifiques et professionnelles du candidat au sujet du programme de formation du DEI, et une épreuve d’admission orale qui permet de savoir si le candidat est apte à suivre la formation, est capable d’expliquer son projet professionnel en argumentant, est apte à faire un raisonnement clinique et gérer une situation,….
  • Accessible après 2 années d’exercice professionnel d’Infirmier
  • Alternance apports théoriques et stages pratiques
  • Acquisition de 120 Crédits européens correspondant à l’acquisition des 7 compétences du référentiel : 60 pour les Unités d’Enseignement, 60 pour les stages.
Depuis Septembre 2014, le Diplôme d’infirmier Anesthésiste est reconnu GRADE MASTER.
Tableaux formation (sources SNIA) :

4- LIEUX D’EXERCICE

  • Anesthésie / bloc opératoire
  • En Salle de Surveillance Post Interventionnelle (SSPI)
  • En Services d’Urgence Médicale (SMUR, SSSM, SAU)
  • En Service de réanimation
  • Peut intervenir dans les services pour aider à la prise en charge de la douleur,…

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Sources :