Orlane vous met à disposition son travail sur la communication avec le patient chronique non communicant. Voici son travail.


La communication est essentielle dans le métier d’infirmier, elle permet d’avoir une meilleure connaissance du patient et d’adapter sa prise en charge. Ces derniers expriment leurs sentiments, leurs craintes, leurs demandes et c’est grâce à cela qu’une relation de confiance se crée avec l’équipe soignante.

Lorsque l’hospitalisation est longue, la relation soignant/soignée est primordiale. Dans le cas où le patient présente une altération de la communication verbale, l’équipe se trouve face à une réelle difficulté pour établir une relation de confiance. Cette situation parfois frustrante amène les soignants à être lassés de prendre en charge ces personnes chroniques non communicantes. Il est intéressant de s’interroger sur, d’une part la volonté d’assurer une bonne prise en charge du patient, et d’autre part la lassitude ressentie par l’équipe.

Mots clés :communication, équipe, hospitalisation longue, lassitude, prise en charge, relation de confiance



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Claire vous propose de consulter son mémoire ayant pour sujet l’accompagnement de la famille d’un patient en situation de fin de vie. Son travail, de 40 pages, permet une réflexion sur le positionnement soignant par rapport à la famille.


Au cours d’un stage réalisé dans un service d’hématooncologie, j’ai été interpellée par la difficulté de prise en charge de la famille d’un patient en fin de vie. J’ai donc élaboré une question générale afin de comprendre les raisons de ce malaise soignant. La contextualisation de celle-ci ainsi que ma pré-enquête m’ont permis de me poser la question de recherche suivante : En quoi le fait d’établir une relation de confiance dans la triangulation (patient en fin de vie, famille, IDE non-spécialisée) permet une prise en charge plus efficace du patient en fin de vie ?

J’ai ensuite développé les concepts induits par cette question, ce qui m’a permis d’élaborer une problématique. Enfin, j’ai pu émettre une hypothèse générale et construire un cadre opératoire afin de tester la validité de mon hypothèse par un questionnaire auprès de professionnels.

Mots clés : Fin de vie, accompagnement des familles, relation de confiance



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Stéphanie vous propose de consulter son travail de recherche sur l’intimité lors des soins.


Ce mémoire traite de l’intimité dans les soins. Lors de mon stage du semestre cinq dans un service de médecine, j’ai pu voir des infirmières réaliser des soins comme : mettre et retirer une perfusion, faire une injection, prendre une tension ou vérifier une glycémie capillaire la porte de la chambre ouverte. Ceci m’a choquée car nous devons fermer la porte lors de la réalisation d’un soin auprès d’un patient. J’ai choisi de traiter ce sujet à cause du manque du respect de l’intimité, la dignité et la confidentialité des soins. L’analyse de ma situation initiale m’a permis de poser la question de départ suivante : « Quels facteurs influencent le non-respect de l’intimité, de la dignité et de la confidentialité des soins ? ».

Pour répondre à la question j’ai mené une revue de littérature en lisant de nombreux articles. Après l’analyse, j’ai réalisé trois entretiens dans différents services hospitaliers. Un dans un service de chirurgie, un dans une unité de soin de longue durée et le troisième dans un EHPAD. Les données collectées m’ont mené à la question de recherche suivante : « En quoi, le respect de l’intimité influence-t-il la relation de confiance entre l’infirmière et le patient ? ».


J’ai effectué quelques lectures pour y répondre, mais pour répondre vraiment à la question je déciderais de réaliser d’autres entretiens. Je choisirais six ou huit infirmières anciennes ou nouvelles diplômée, dans des services de court séjour. Ces entretiens seraient menés à l’aide d’un guide d’entretien afin d’obtenir des réponses plus précises.

Ce travail de recherche est important pour comprendre comment nous devons travailler. J’ai pu voir que j’avais une bonne pratique pour instaurer une relation de confiance avec les patients. Cependant, je suis consciente qu’il serait difficile de réaliser tous les soins que nous avons à faire en respectant tout le temps les bonnes pratiques.

Je suis sure que je tenterais de faire mon travail avec le plus de relation de confiance possible car cela est nécessaire à la guérison du patient. J’essaierai donc de fermer les portes pour le reste de ma carrière.

Mots clés : intimité, dignité, confidentialité des soins, relation de confiance entre l’infirmière et le patient.



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