Bruno vous propose de consulter son travail sur les représentations sociales en milieu carcéral.


Après un stage infirmier au sein d’une unité de soins en milieu carcéral, j’ai réalisé un travail d’initiation à la recherche portant sur l’impact des représentations sociales lors de la prise en soin de patients détenus.

La problématique suivante est alors mise en évidence : en quoi les représentations sociales des soignants influent-elles sur la relation soignant soigné en milieu carcéral ?

Lors de ce travail, j’ai dans un premier temps effectué des recherches théoriques en lien avec les soins en milieu carcéral et des concepts clés pouvant impacter les soins, et dans un second temps, j’ai réalisé des entretiens auprès de professionnels de santé.

Une hypothèse a émergée de cette étude : si les représentations sociales ont un impact sur la prise en soins d’un patient plus particulièrement dans relation soignant soigné, cet impact est propre à chaque situation, à chaque soignant, et à chaque patient.

Mots clés : milieu carcéral, représentations sociales, relation soignant-soigné, non-jugement



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Lucie vous propose de découvrir son travail de recherche sur la posture infirmier et la relation soignant-soigné.


Les situations de violence envers les infirmiers sont de plus en plus présentes à l’hôpital. Celles-ci impactent la relation soignant-soigné positivement ou négativement.

Ma question de recherche est : « En quoi la posture de l’infirmière peut-elle avoir un impact sur la relation soignant-soigné face à un patient violent aux urgences ? ».

La méthodologie utilisé est basée sur un entretien exploratoire effectué auprès d’un cadre de santé formateur sur la violence ayant travaillé aux urgences. La lecture d’un ouvrage de référence La relation soignant-soigné deA. MANOUKIAN. Puis, la réalisation de deux entretiens semi-directifs auprès d’infirmiers travaillant aux urgences.

La posture infirmière a un impact sur la relation soignant-soigné face à un patient violent au travers de la notion de contexte et de compétences (savoir, savoir-faire, savoir- être). Si les compétences sont mises en œuvre avec le contexte, cela favorise l’adoption d’une posture « adaptée » (compréhensive et de verbalisation : écoute, empathie, bienveillance). Cette dernière a un impact positif sur la relation soignant-soigné : relation de qualité, patient apaisé. L’absence ou la non mobilisation des compétences infirmières associée à un contexte défavorable peut engendrer une posture « inadaptée » (agressivité, ignorance du patient). Cette dernière a un impact négatif sur la relation soignant-soigné : altération, exacerbation de la violence du patient.

La réalisation de ce travail m’a fait prendre conscience de l’importance d’avoir des compétences qui doivent toujours être renouvelées et maintenues dans le temps.

Mots clefs : violence, patient, posture infirmière, relation soignant-soigné, compétences, savoir, savoir-faire, savoir-être, contexte.



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Jade, IDE depuis Juillet 2016 a fait son travail de recherche sur le thème de la relation soignant-soigné et le patient pédophile. Voici son résumé.


Ce Travail de fin d’études est l’aboutissement d’une réflexion qui chemine depuis ma première année de formation. En effet, c’est durant le deuxième semestre, lors d’un stage en soins de suite et de réadaptation (SSR) que j’ai rencontré quelques difficultés à prendre en charge un patient auteur d’agressions sexuelles sur mineur. J’ai donc souhaité travailler autour de la relation soignant-soigné avec les patients pédophiles en établissement de soins. Cette situation a suscité en moi la question suivante : en quoi la relation soignant-soigné est-elle impactée quand le patient est pédophile? Pour cela, j’ai réalisé cinq entretiens semi- directifs dans divers services de soins. Je les ai ensuite analysés selon la méthode clinique en respectant le caractère singulier et qualitatif de ceux-ci. Le recueil de données m’a permis d’avoir une vision différente de la prise en charge soignante, j’ai pu constater que ces situations ne laissaient pas indifférents les soignants quels que soient leur lieu d’exercice, leur âge et leur expérience. J’ai réellement senti qu’avec ce sujet je touchais un point sensible, que les soignants semblaient mal à l’aise à l’idée d’en parler.

Mots-clés : Relation soignant-soigné, infirmière, soin, patient, pédophilie.



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Emy a soutenu, en 2016, son travail de recherche et a obtenu la note de 17,75/20. Elle vous propose de consulter son écrit. Voici le résumé.


Ce travail aborde le sujet de l’émotion du soignant ayant un vécu douloureux.

Lors de ma deuxième année d’étude, j’ai pu constater au travers de mon expérience que les émotions du soignant liées à un vécu douloureux pouvaient être handicapantes dans l’exercice de son métier. En tant que future infirmière, j’ai voulu savoir à quel point cela pouvait mettre le soignant et le soigné en difficulté.

Ainsi, la question de départ de mon travail de fin d’études est : dans quelle mesure les émotions de l’infirmier qui le ramènent à un vécu douloureux influent- elles la relation soignant/soigné ?

En confrontant l’analyse d’entretiens semi-directif effectués auprès d’infirmiers à mes recherches théoriques, j’ai pu conclure que ces émotions peuvent modifier la relation soignant-soigné mais, si les infirmiers assurent la continué des soins, il semblerait qu’il subsiste chez eux une souffrance psychologique.

Cela mène à ma question de recherche : Un accès à des dispositifs officiels, proposés par la structure où l’infirmier travaille, pour faciliter la gestion de ses émotions, l’aiderait à apprivoiser des situations émotionnellement difficiles et à avoir une posture professionnelle plus équilibrée.

Mots clés : Relation soignant- soigné, Emotions, Contre-transfert.



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Clémence vous propose de consulter son mémoire ayant pour thème l’explication du soin au soignant par le soigné, et plus généralement l’apprentissage du soignant par ce patient atteint d’une maladie chronique.


Pour le travail d’initiation à la recherche réalisée lors de ma troisième année d’étude, je parle d’une situation qui s’est déroulée au cours d’un stage dans un service de néphrologie en deuxième année. Il s’agit d’un acte de soin réalisé par une patiente qui a comme traitement une dialyse péritonéale. Cette situation m’a questionnée car c’est la patiente qui m’a expliquée le soin. Suite à la phase exploratoire la question de départ qui est ressortie est : en quoi un soignant peut-il apprendre d’un patient atteint d’une maladie chronique qui a reçu une éducation thérapeutique dans les règles de bonnes pratiques ?

J’ai étudiée quatre concepts principalement qui sont : l’apprentissage, l’éducation thérapeutique, la maladie chronique et la bonne pratique professionnelle. Pour décrire ces concepts, j’ai utilisé des articles, des livres et des sites internet. A partir de ces concepts, plusieurs hypothèses de recherche ressortent, tel que : Les infirmières apprennent et construisent leurs savoirs sur la maladie chronique en coordination avec les patients experts. La pratique professionnelle est impactée par les patients experts. L’Education Thérapeutique du Patient est un travail en collaboration entre patient atteint de maladie chronique et les professionnels de santé. Si j’avais dû aller enquêter sur ce thème, j’aurais utilisé une méthode clinique avec des questionnaires pour les soignants et les patients.

Mots clés : Education Thérapeutique, Relation soignant soigné



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Nolwenn vous propose de consulter son mémoire, ayant pour thème principal l’administration d’un placebo, et essentiellement la représentation des soignants sur ce traitement.


Le placebo et les soignants est le thème de ce travail. Le mot « placebo » défini un médicament dépourvu de tout principe actif. Un médicament qui semble être jugé comme « embarrassant » par les soignants. Il crée un malaise dans le milieu médical, de part son jugement et de ses représentations, lorsque les soignants doivent prendre en charge un patient sous placebo. Pourtant aujourd’hui, la médecine a évolué et elle a prouvé l’efficacité du placebo et de l’effet placebo à l’aide de l’imagerie cérébrale. Cependant pour les soignants, leurs représentations n’ont pas évolué. Un débat éthique autour du placebo est continu et nécessaire. Un soignant est un professionnel qui acquiert une base théorique et un savoir-être en formation. Il est amené à développer ce savoir-être pendant sa carrière mais aussi à remettre à jour son savoir. En quoi la connaissance du placebo influence-t-il les attitudes des soignants dans la prise en charge d’un patient ?

Mots clés : Placebo, Effet placebo, Relation soignant-soigné, Savoir-être, Savoir, Savoir-faire



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Bertrand vous met à disposition son travail soutenu avec brio ayant pour thème principal la communication avec le patient aphasique.


Les troubles du langage de type aphasie sont des conséquences fréquentes suite à un accident vasculaire cérébral. Savoir comment entrer en communication avec les personnes atteintes de cette pathologie est essentielle dans la prise en charge de l’infirmier. Ce travail de recherche a pour but d’exposer les difficultés qu’éprouve au quotidien la personne qui ne peut plus s’exprimer et se faire comprendre par autrui, et comment dans ce contexte, la démarche de communication doit s’adapter. Une exploration du cadre conceptuel et théorique, associée à une enquête exploratoire auprès des professionnels, ont permis d’approfondir la réflexion et de dégager une hypothèse de recherche.

Le langage est un mode de communication riche et complexe qui ne se limite pas à la seule parole. Il appartient à l’infirmier d’aider la personne aphasique à surmonter son handicap et de l’aider à développer ses ressources et ses capacités de communication. Pour parvenir à un échange répondant aux besoins de la personne aphasique, l’infirmier doit enrichir ses connaissances sur la pathologie et les différentes formes de communication, développer ses capacités relationnelles, s’organiser en équipe et avec tous les acteurs de la vie quotidienne. C’est en prenant le temps de l’écoute et de l’observation que l’infirmier va pouvoir adapter son langage et créer la relation de confiance indispensable au bien-être et à la qualité de vie de la personne aphasique.

Communiquer, c’est arriver à comprendre et à se faire comprendre, en s’évaluant à tout moment et en prenant le temps nécessaire, car il n’y a pas de soin sans communication.

Mots clés: Aphasie, Communication verbale, Communication non-verbale, Relation soignant-soigné, Qualité de vie



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