Nolwenn vous propose de consulter son mémoire, ayant pour thème principal l’administration d’un placebo, et essentiellement la représentation des soignants sur ce traitement.


Le placebo et les soignants est le thème de ce travail. Le mot « placebo » défini un médicament dépourvu de tout principe actif. Un médicament qui semble être jugé comme « embarrassant » par les soignants. Il crée un malaise dans le milieu médical, de part son jugement et de ses représentations, lorsque les soignants doivent prendre en charge un patient sous placebo. Pourtant aujourd’hui, la médecine a évolué et elle a prouvé l’efficacité du placebo et de l’effet placebo à l’aide de l’imagerie cérébrale. Cependant pour les soignants, leurs représentations n’ont pas évolué. Un débat éthique autour du placebo est continu et nécessaire. Un soignant est un professionnel qui acquiert une base théorique et un savoir-être en formation. Il est amené à développer ce savoir-être pendant sa carrière mais aussi à remettre à jour son savoir. En quoi la connaissance du placebo influence-t-il les attitudes des soignants dans la prise en charge d’un patient ?

Mots clés : Placebo, Effet placebo, Relation soignant-soigné, Savoir-être, Savoir, Savoir-faire



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Marie vous propose de consulter son mémoire ayant comme thème de travail les aidants naturels au domicile du patient.


Les aidants naturels des acteurs primordiaux à la prise en soins à domicile. Sans eux, le patient ne peut pas décéder cher lui et doit se faire hospitaliser. Il représente un rôle fondamental dans la prise en soins à domicile. Ils aident leurs proches dans la réalisation d’actes quotidiens, les accompagne, les soutiennent mais aussi alerte les professionnels en cas de problèmes. Ils endossent des responsabilités importantes. Cependant, ils ont tout de même besoin d’aides extérieur. En quoi la relation d’aide entre l’aidant et l’infirmier peut influencer l’accompagnement du patient en soins palliatifs à domicile ? 

L’infirmier est souvent présent dans des accompagnements comme celui-ci. Mais si la relation de confiance entre l’aidant et l’infirmier n’est pas présente ceci peut être un frein aux soins à domicile. Si l’infirmier ne soutient pas l’aidant dans cette prise en soins douloureuse celui-ci peut rencontrer des difficultés. Ce qui mettrait en périple la qualité des soins prodigués au patient. Suite à des entretiens avec des infirmiers libéraux nous avons pu constater l’importance de la relation d’aide entre l’infirmier et l’aidant naturel dans la prise en soins de qualité du patient. Les professionnels doivent faire preuve d’écoute, d’empathie, d’aide, de soutien auprès de ces aidants en souffrance.

Mots clés :  Aidant Naturel, Patient, Infirmier, Accompagnement, Soutien



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Constance vous propose de consulter son écrit sur un sujet peu traité : les EMI (expériences de mort imminente).


Dans une société où la mort est encore tabou, il est parfois difficile de prendre en charge nos mourants de manière adaptée. La religion est de moins en moins présente, la notion de paradis également. Pour beaucoup, la mort n’offre donc comme perspective que le néant de l’au-delà.

Les infirmières et les professionnels de santé sont ainsi régulièrement les témoins de questionnements existentiels de patients angoissés, sentant la mort approcher. La mort, présente dans tous les services quel qu’ils soient, est tantôt affrontée, tantôt cachée, tantôt crainte, tantôt fuit.

Les infirmières sont-elles suffisamment armées pour affronter l’inévitable question de la mort ? Face à ces difficultés soignantes vis-à-vis de la mort, la connaissance des Expériences de Mort Imminente pourrait bien être utilisée comme outils thérapeutique pour aider les soignants ainsi que les étudiants à affronter les craintes que la mort inspire.

« Conscience », « inconscience », « mort » et « au-delà »… l’étude des EMI nous apporte du réconfort et de l’espoir, l’espoir d’une vie après la vie.

Mots clés : Expérience de Mort Imminente, Soins palliatifs, Angoisse de la mort, au-delà



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Bertrand vous met à disposition son travail soutenu avec brio ayant pour thème principal la communication avec le patient aphasique.


Les troubles du langage de type aphasie sont des conséquences fréquentes suite à un accident vasculaire cérébral. Savoir comment entrer en communication avec les personnes atteintes de cette pathologie est essentielle dans la prise en charge de l’infirmier. Ce travail de recherche a pour but d’exposer les difficultés qu’éprouve au quotidien la personne qui ne peut plus s’exprimer et se faire comprendre par autrui, et comment dans ce contexte, la démarche de communication doit s’adapter. Une exploration du cadre conceptuel et théorique, associée à une enquête exploratoire auprès des professionnels, ont permis d’approfondir la réflexion et de dégager une hypothèse de recherche.

Le langage est un mode de communication riche et complexe qui ne se limite pas à la seule parole. Il appartient à l’infirmier d’aider la personne aphasique à surmonter son handicap et de l’aider à développer ses ressources et ses capacités de communication. Pour parvenir à un échange répondant aux besoins de la personne aphasique, l’infirmier doit enrichir ses connaissances sur la pathologie et les différentes formes de communication, développer ses capacités relationnelles, s’organiser en équipe et avec tous les acteurs de la vie quotidienne. C’est en prenant le temps de l’écoute et de l’observation que l’infirmier va pouvoir adapter son langage et créer la relation de confiance indispensable au bien-être et à la qualité de vie de la personne aphasique.

Communiquer, c’est arriver à comprendre et à se faire comprendre, en s’évaluant à tout moment et en prenant le temps nécessaire, car il n’y a pas de soin sans communication.

Mots clés: Aphasie, Communication verbale, Communication non-verbale, Relation soignant-soigné, Qualité de vie



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Coralie vous propose de consulter son travail de recherche sur un thème de psychiatrie, et plus précisément sur le lien mère-enfant chez les patientes atteintes de schizophrénie.


Le thème : le lien mère-enfant chez les patientes schizophrènes, est un thème que j’ai pu voir lors de deux de mes stages. La première fois lors de mon stage en maternité et ensuite durant mon stage en psychiatrie. Au cours de mon stage en maternité cette situation ne m’avait pas particulièrement interpellée. Cependant lorsque j’ai revécu cette situation en psychiatrie je me suis rappelée de cette patiente en maternité. C’est à ce moment que j’ai pu me questionner sur ces deux situations. Cette situation m’a interpellée car je n’avais jamais réfléchi à cette possibilité et je n’avais jamais pensé aux faits que les patientes en psychiatrie puissent être enceintes. La deuxième chose qui m’a étonné était le lien que la patiente de psychiatrie avait avec son enfant. Je me suis donc demandé comment cela était possible au vue de l’hospitalisation de la patiente et du placement de son enfant. Ce thème m’est donc venu naturellement. J’ai donc voulu en savoir plus sur le rôle que l’infirmière avait dans la relation qu’une mère schizophrène peut avoir avec son enfant.

Mots clés: Lien Mère Enfant, psychiatrie, Schizophrénie, Santé Mentale



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Bryan vous a contacté courant 2017 pour l’aider à établir son TFE. Il a choisi comme thème de mémoire le psychotraumatisme, et s’est basé sur les attentats terroristes survenus en 2015-2016 en France. Un travail hors du commun intéressant à lire sans modération.


L’histoire et la littérature ont démontré que l’homme a toujours été victime de l’affliction qu’est le traumatisme psychique. Cette blessure de l’âme confronte la victime au réel de la mort. Dans un pays récemment touché par des attentats terroristes, nous infirmiers, sommes plus à même de prendre en charge un patient psychotraumatisé. La limite entre empathie et compassion est- elle particulièrement précaire dans la relation de soin avec le patient en état de psychotraumatisme ? Le cadre théorique de ce mémoire de fin d’études s’appuie sur les théories de Louis Crocq et François Lebigot au sujet du traumatisme psychique ainsi que sur les concepts de la relation d’aide selon Carl Rogers. Pour conduire cette étude, je suis allé m’entretenir avec des soignants de différentes professions à propos de la prise en charge du patient psychotraumatisé. Les résultats ont montré une corrélation entre les éléments théoriques et les réponses des professionnels. L’enquête a cependant suscité de nouvelles interrogations. Il serait pertinent d’aborder au cours d’une future recherche les outils que l’infirmier doit développer afin de se préserver du traumatisme vicariant.

Mots clés : Traumatisme psychique, empathie, compassion, infirmier, relation de soin, …



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Floriane vous propose de consulter son mémoire sur un thème très paradoxal : vivre la mort, quand expériences et représentations influencent nos prises en charge.


Maurice ABIVEN, médecin humaniste français et créateur de la première unité de soins palliatifs en France, explique que « Le contact permanent avec des crises qui se succèdent et se côtoient dans un même lieu n’est pas sans incidence pour le soignant.». Il questionne également le lecteur : « Peut-on travailler sans souffrir dans un lieu où l’on ne cesse de mourir ? sans vivre ses propres crises ? sans finalement se transformer ? […] Comment chacun concilie-t-il son idéal avec ses limites et celles de l’institution ? Quel rôle jouent les motivations, les idéologies dans la façon de gérer cette souffrance ?». Le « contact » répété ou non à la mort constitue une expérience et l’idéal n’est autre qu’une représentation. Le terme « se transformer » exprime clairement un changement, une influence chez le soignant qui se répercutera tôt ou tard dans sa prise en charge du patient.

Mots clés : soins palliatifs, morts, décès, accompagnement, infirmier, oncologie, …



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Amandine vous propose de consulter son travail de recherche ayant pour thème principal les nuisances olfactives et sonores au sein de l’hôpital. Son travail de 64 pages permet une réflexion sur les bruits et les odeurs présents dans les services où nous exerçons.


Le bruit et les odeurs, sont des nuisances souvent rapportées par les patients en milieu hospitalier. Pour illustrer cette problématique et partant d’une situation de départ rencontrée, j’ai dans un premier temps fait des recherches sur des textes traitant ces thèmes ce qui m’a permis de construire mon cadre conceptuel.

Je suis partie du postulat que le bruit et les odeurs avaient un impact sur le processus de guérison des patients. Suite aux rencontres avec les professionnels, ces derniers m’ont apporté des réponses différentes de celles attendues concernant cette problématique. En effet, il en ressort que les professionnels n’avaient pas forcément conscience de l’impact que ces stimulations pouvaient avoir sur le processus de guérison des patients. Il semblerait que les odeurs soient moins ressenties comme facteur gênant le soin par les soignants et les patients, en adéquation avec le peu de données trouvées en amont de mes recherches. La prise en compte des nuisances sonores dans l’environnement des patients a évolué depuis quelques années, principalement lors des nouveaux aménagements des services. Ce qui tend à penser qu’il y a une prise en compte de ce phénomène dans la prise en soins des patients.

Mots clés : bruit, odeurs, processus de guérison, patients,…



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Marguerite vous propose de consulter son travail de recherche sur le thème du retentissement des mauvaises odeurs sur la posture soignante.

Depuis notre naissance, les cinq sens nous construisent. Ils nous permettent de faire davantage connaissance avec le monde qui nous entoure, de nous adapter, mais aussi de nous prévenir du danger que peut représenter l’extérieur. Ils fonctionnent en complémentarité : la vue, l’ouïe, le toucher, le goût et l’odorat. Je me suis intéressée plus particulièrement au sens de l’odorat. Selon André Holley « L’odorat suscite à la fois méfiance et fascination. C’est qu’il s’exerce dans les fonctions que les êtres humains partagent le plus avec les animaux, comme la prise de nourriture et la reproduction ». Cela montre que l’odorat est un sens primitif. Cependant, il est de moins en moins développé. Aujourd‘hui, notre société se débarrasse d’odeurs et en invente d’autres dans le but de masquer ou de faire oublier certaines mauvaises odeurs. Pourtant, elles sont difficilement qualifiables et distinguables les unes des autres.

Dans les pratiques infirmières, j’ai observé au cours de mes stages qu’il n’était pas toujours évident de parler des odeurs, ni agréable de les sentir, cela dit, les odeurs peuvent nous donner des informations. La question des odeurs est rarement abordée ouvertement par les soignants, mais les qualificatifs que j’ai pu relever et qui reviennent le plus souvent lorsque l’odeur est forte sont «pourriture», «de mort», «prenante», «écœurante», «répulsive» et « nauséabonde ». Par conséquent, les odeurs désagréables peuvent être un frein à la qualité des soins et à la relation entre les soignants-soignés.

Mots clés : posture infirmière, mauvaises odeurs, mécanismes de défense, bienveillance, dignité,…



ATTENTION, LE PLAGIAT EST PASSIBLE DE POURSUITES JUDICIAIRES 

Océane vous propose de consulter sont travail de recherche sur le thème des émotions dans le cadre de la fin de vie.


Lors d’un de mes stages, j’ai du faire face à certaines situations de fin de vie dont une qui m’a particulièrement touché. Dans ce mémoire, j’ai voulu mettre en évidence le lien qui existait entre les émotions du soignant et la juste distance qu’il faut donc adopter avec le patient en fin de vie qu’il prend en charge.

Afin d’enrichir mes connaissances, j’ai effectué des recherches qui ont pu mettre en avant les différents concepts de mon cadre théorique. Après avoir effectué mes recherches, j’ai pu poser la problématique suivante : « Comment les émotions peuvent elles influencer la juste distance relationnelle de l’infirmier face à un patient en fin de vie ? ». J’ai ensuite émis les hypothèses suivantes : certaines émotions dite négatives peuvent induire la mise à distance du patient et d’autres dites positives peuvent favoriser une distance relationnelle plus proche avec le soignant. Ma deuxième hypothèse étant : c’est avec l’expérience que l’infirmier pourra contenir ses émotions et ainsi assurer une juste distance relationnelle avec le patient en fin de vie. Afin de valider ou non mes hypothèses, j’ai effectué des entretiens auprès d’infirmiers de pneumologie, de soins palliatifs et enfin de médecin interne oncologie. Au vue des résultats, ma première hypothèse est partiellement validée. En effet certaines infirmières pensent que les émotions négatives peuvent être parfois positives. Ma seconde hypothèse quant à elle est validée. L’expérience professionnelle permet à l’infirmier une gestion des émotions et ainsi une maîtrise de la distance relationnelle.

Mots clés : juste distance, émotion, patient en fin de vie, rôle infirmier, accompagnement, législation.



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